RĂ©partitiondu groupe sanguin O dans le monde. La majoritĂ© des personnes dans le monde possĂšde le facteur RhĂ©sus positif. Toutefois, il est plus frĂ©quent dans certaines rĂ©gions. La plupart des populations d’Afrique A partir des documents proposĂ©s, je rĂ©alise un croquis de la rĂ©partition de la population mondiale. Nous utilisons les questions proposĂ©es et les critĂšres de rĂ©ussite des badges Cartographe » et Mr/Mme Propre » pour nous guider dans la rĂ©alisation de notre travail. ETAPE 1 COMPLETER LE TEXTE DANS LA LÉGENDE A l’aide des documents et/ou de mes connaissances, je complĂšte les parenthĂšses dans la lĂ©gende. ETAPE 2 ASSOCIER UN FIGURÉ À CHAQUE ÉLÉMENT Pour chaque information qui apparait dans la lĂ©gende, je lui associe le figurĂ© dessin qui me semble le plus adaptĂ©. Si j’ai besoin d’aide, je peux revoir cette vidĂ©o sur les figurĂ©s cartographiques. ETAPE 3 RÉALISER LE CROQUIS À partir des documents et d’un atlas virtuel ou papier, je SITUE proprement tous les Ă©lĂ©ments de la lĂ©gende sur le croquis. ETAPE 4 COMPLÉTER LA NOMENCLATURE Je NOMME proprement Les grands foyers de peuplement de la mĂȘme couleur que le figurĂ© choisi Les principaux dĂ©serts humains de la mĂȘme couleur que le figurĂ© choisi Les 10 villes les plus peuplĂ©es au monde de la mĂȘme couleur que le figurĂ© choisi Les ocĂ©ans en bleu. ETAPE 5 DONNER UN TITRE Je donne un titre adaptĂ© Ă  mon croquis.
LarĂ©partition de la population mondiale. Six milliards d'hommes peuplent une partie de la Terre . (durĂ©e 4 Ă  5 heures) 1‱ Fortes densitĂ©s et dĂ©serts humains. 2‱ Les États dans le monde. 3‱ La population est surtout urbaine. 4‱ Un Nord riche et un Sud pauvre. Carte de la rĂ©partition de la population dans le monde. Carte des

La planĂšte est peuplĂ©e de 7,5 milliards d'ĂȘtres humains, mais cette population est inĂ©galement rĂ©partie sur la surface de la Terre. Elle se concentre dans plusieurs grands foyers de peuplement, dont certains sont parfois trĂšs anciens. À l'opposĂ© de ces foyers trĂšs densĂ©ment peuplĂ©s, des espaces sont relativement vides d'ĂȘtres humains. Cette rĂ©partition de la population mondiale est le fruit de divers hĂ©ritages. L'histoire, la culture, les contraintes naturelles expliquent notamment cette installation des humains sur Terre. IUne inĂ©gale rĂ©partition de la population dans le monde Plus de la moitiĂ© de la population mondiale est concentrĂ©e dans trois principaux foyers de peuplement. Les humains sont prĂ©sents partout sur la Terre mais certains espaces sont pratiquement vides. ALes foyers de peuplement La majeure partie de la population est concentrĂ©e dans plusieurs foyers de peuplement. Ces foyers se situent essentiellement Ă  proximitĂ© des littoraux et autour des mĂ©tropoles mondiales, dans les plaines ou les vallĂ©es fluviales. Foyer de peuplement Un foyer de peuplement est un espace trĂšs peuplĂ© Ă  l'Ă©chelle ĂȘtres humains sont principalement concentrĂ©s dans des espaces favorables au dĂ©veloppement de l'agriculture et Ă  leurs Ă©changes, comme des plaines littorales ou des vallĂ©es. Littoral Le littoral dĂ©signe la zone de contact entre la mer et la terre. VallĂ©e fluviale La vallĂ©e fluviale est l'espace situĂ© autour d'un fleuve. Cet espace est gĂ©nĂ©ralement trĂšs fertile et plat, donc propice aux foyers de peuplement des littoraux ou des vallĂ©es fluviales concentrent une grande partie de la population mondiale et contiennent la plupart des grandes mĂ©tropoles. Ils se caractĂ©risent par une trĂšs forte densitĂ© de population. DensitĂ© La densitĂ© correspond au nombre d'habitants au km2. Elle est considĂ©rĂ©e comme faible quand elle est infĂ©rieure Ă  20 habitants/km2. Dans les espaces ruraux de faible densitĂ© Ă  vocation agricole, les habitants sont souvent regroupĂ©s dans de petits villages ou dispersĂ©s dans des habitations individuelles. Les trois foyers de population les plus importants sont l'Asie du Sud avec 1,7 milliard d'habitants ; l'Asie de l'Est avec 2,3 milliards d'habitants ; l'Europe avec 750 millions d'habitants. Ces trois foyers rassemblent plus de la moitiĂ© de la population existe aussi des foyers de peuplement secondaires, comme le Nord-Est amĂ©ricain avec 100 millions d'habitants ; le Sud-Est du BrĂ©sil avec 100 millions d'habitants ; le golfe de GuinĂ©e en Afrique avec 260 millions d'habitants. © Jean-Christophe Benoist via Wikimedia Commons BLes espaces faiblement peuplĂ©s Certains espaces sur la planĂšte sont des dĂ©serts humains. Ces territoires sont immenses et prĂ©sentent des caractĂ©ristiques qui rendent la vie des humains trĂšs difficile. DĂ©sert humain Un dĂ©sert humain est un espace trĂšs faiblement peuplĂ©. Les dĂ©serts humains sont souvent de vastes Ă©tendues terrestres qui peuvent ĂȘtre caractĂ©risĂ©es selon quatre types les dĂ©serts froids Arctique, Antarctique, Nord du Canada, SibĂ©rie, etc. ; les dĂ©serts chauds Sahara, dĂ©sert australien, etc. ; les hautes montagnes Himalaya, etc. ; les forĂȘts Ă©quatoriales denses Amazonie, etc. En observant des images satellites prises la nuit, on constate que les mĂ©tropoles apparaissent lumineuses alors que les dĂ©serts humains sont complĂštement sombres, tant les densitĂ©s de population sont faibles. © Craig Mayhew and Robert Simmon, NASA GSFC via Wikimedia CommonsDans des endroits trĂšs localisĂ©s des dĂ©serts humains, on peut tout de mĂȘme trouver une forte prĂ©sence humaine oasis, villages, fronts pionniers, etc. Oasis Une oasis est un espace cultivĂ© et habitĂ© dans le dĂ©sert grĂące Ă  la prĂ©sence d'une source d'eau qui se trouve soit en surface, soit en profondeur. Front pionnier Un front pionnier est un espace situĂ© aux limites d'une forĂȘt dense, dans lequel les hommes dĂ©veloppent l'agriculture aprĂšs avoir retirĂ© les arbres. IILes raisons de l'inĂ©gal peuplement de la Terre Les facteurs historiques ou les contraintes naturelles expliquent en partie l'inĂ©gal peuplement de la Terre. Plusieurs dynamiques spatiales, comme l'urbanisation ou la littoralisation, expliquent aussi la concentration des humains dans certains espaces. ALes facteurs historiques L'histoire et les traditions expliquent certains peuplements. Les foyers de population les plus anciens s'expliquent notamment par le dĂ©veloppement de l'agriculture depuis des forte densitĂ© de la population dans le foyer de peuplement de l'Asie de l'Est, et notamment en Chine, s'explique principalement par une mise en place de la riziculture il y a des millĂ©naires. Cette culture nĂ©cessite une main-d'Ɠuvre abondante et permet de nourrir une population nombreuse. Ainsi, les premiĂšres populations, qui ont mis en place l'agriculture au NĂ©olithique il y a plusieurs milliers d'annĂ©es, sont aujourd'hui trĂšs nombreuses. © Toony via Wikimedia CommonsLe peuplement de l'AmĂ©rique du Nord-Est ou du BrĂ©sil s'explique aussi par des facteurs historiques. Les EuropĂ©ens ont conquis ces espaces il y a plusieurs siĂšcles et y ont construit des villes et des ports. Les migrations entre l'Europe et les AmĂ©riques dans les siĂšcles qui ont suivi ont contribuĂ© Ă  densifier ces foyers de peuplement. BLes contraintes naturelles Des contraintes naturelles ont limitĂ© l'installation des humains dans certains espaces. MalgrĂ© des conditions extrĂȘmes, quelques humains ont su s'adapter aux contraintes contraintes naturelles peuvent expliquer les dĂ©serts humains sur la planĂšte Le climat dans les rĂ©gions polaires, les tempĂ©ratures glaciales et la banquise rendent la vie trĂšs difficile, tout comme dans les dĂ©serts chauds, oĂč l'ariditĂ© rend l'eau trĂšs rare. Le relief les pentes et les basses tempĂ©ratures en haute montagne empĂȘchent la construction d'amĂ©nagements et le dĂ©veloppement de l'agriculture. Les forĂȘts denses et humides rendent difficile le peuplement. Ces contraintes naturelles n'expliquent pas tout car les humains ont su s'adapter et profiter des rares ressources offertes par la nature pour s'installer et subsister. Les oasis, dans les dĂ©serts chauds, en sont une illustration. © Christopher Crouzet via Wikimedia Commons CLes dynamiques de peuplement La population continue d'augmenter dans les foyers de peuplement et dans le reste du monde. Des dynamiques comme la littoralisation ou l'urbanisation expliquent l'augmentation et la densification de la population dans certains espaces. Littoralisation La littoralisation correspond Ă  la concentration des habitants et des activitĂ©s sur les littoraux. Urbanisation L'urbanisation correspond Ă  l'augmentation de la population qui habite en le monde entier, les processus de littoralisation et d'urbanisation contribuent Ă  l'augmentation de la population des rĂ©gions dĂ©jĂ  densĂ©ment peuplĂ©es. Les nouveaux habitants sont attirĂ©s dans les villes et sur les littoraux par les nombreuses activitĂ©s Ă©conomiques qui s'y trouvent.© Diego Delso via Wikimedia CommonsLa mobilitĂ© des ĂȘtres humains explique Ă©galement ces dynamiques spatiales. Les habitants quittent parfois la misĂšre ou la guerre pour se diriger vers d'autres rĂ©gions plus paisibles. Les habitants des campagnes quittent Ă©galement leurs champs pour s'installer dans les villes les plus proches, oĂč ils espĂšrent trouver un travail et une vie meilleure. MobilitĂ© La mobilitĂ© dĂ©signe les mouvements d'ĂȘtres humains ou de groupes d'ĂȘtres humains dans diffĂ©rents types d'espaces.

Pourgarantir la cohĂ©rence comptable entre, d’une part, les Ă©volutions de la population entre deux recensements et, d’autre part, les mouvements estimĂ©s de la population, il est parfois nĂ©cessaire de rajouter un ajustement statistique aux mouvements. Pour estimer l’importance relative des mouvements de population, on les rapporte souvent Ă  la population moyenne de l’annĂ©e. On par PubliĂ© 1 juillet 2016 Mis Ă  jour 15 juin 2018 Le 2 juin 2016, le communiquĂ© final du Conseil des ministres informait l’opinion que le Gabon comptait dĂ©sormais 1 811 079 habitants parmi lesquels 87% rĂ©sidaient en zone urbaine. Le CommuniquĂ© du Conseil des ministres s’étant abstenu de dĂ©cliner la rĂ©partition et le taux d’accroissement de la population par province, nous avons choisi de le faire ici dans le cadre d’une analyse synthĂ©tique. En effet, Ă  l’approche d’une Ă©chĂ©ance Ă©lectorale majeure, il serait utile Ă  tous de connaitre le poids dĂ©mographique attribuĂ© Ă  chaque province par le Recensement gĂ©nĂ©ral de la population et des logements de 2013 RGPL 2013 et par voie de consĂ©quence, le poids Ă©lectoral de chaque localitĂ©. La rĂ©partition de la population par province Selon les donnĂ©es du RGPL 2013, l’Estuaire demeure de trĂšs loin la province la plus peuplĂ©e du Gabon. 895 689 personnes soit de la population nationale rĂ©sident dans cette province oĂč se situe Libreville, capitale administrative et politique du Gabon. Les rĂ©sultats du recensement 2013 font de la province du Haut-OgoouĂ© la 2e province la plus peuplĂ©e du Gabon avec 250 799 habitants environ 14% de la population nationale. L’OgoouĂ© Maritime situĂ© sur la bande cĂŽtiĂšre ne compterait que 157 562 habitants soit de la population nationale, tandis que le Woleu-Ntem aurait une population qui n’excĂšde pas les 154 986 habitants de la population du Gabon. Ainsi le Haut-OgoouĂ© compterait 93 000 habitants de plus que l’OgoouĂ© Maritime oĂč se trouve Port-Gentil la capitale Ă©conomique du Gabon et 94 000 habitants de plus que le Woleu-Ntem, frontalier Ă  la GuinĂ©e Equatoriale et au Cameroun. Avec 100 838 habitants de la population nationale, la province de la NgouniĂ© serait la 5e province en termes de dĂ©mographie et bouclerait le groupe des 5 provinces dont la population recensĂ©e serait supĂ©rieure Ă  100 000 habitants. Les autres provinces accueillent respectivement entre 3 et 4% de la population nationale. Les 2 provinces les moins peuplĂ©es du pays sont la Nyanga et l’OgoouĂ© Ivindo oĂč rĂ©sideraient respectivement 52 854 et 63 293 habitants. RĂ©partition de la population du Gabon par province Le taux d’accroissement de la population du Gabon par province Selon le RGPL 2013, le Gabon a enregistrĂ© 796 100 habitants supplĂ©mentaires par rapport Ă  1993. Le taux d’accroissement vicennal de la population s’établirait donc Ă  78%. Cependant, l’analyse de l’accroissement vicennal de la population par province permet de constater des disparitĂ©s et des singularitĂ©s entre les diffĂ©rentes rĂ©gions du pays. Taux d’accroissement de la population du Gabon entre 1993 et 2013 Ainsi, la province du Haut-OgoouĂ© est-elle singuliĂšre. Elle serait en effet la province gabonaise oĂč la population croĂźt le plus rapidement. Etabli Ă  140%, son taux d’accroissement vicennal de la population est le seul du pays Ă  ĂȘtre supĂ©rieur Ă  100%. Il serait donc supĂ©rieur de 62 points Ă  celui du Gabon toutes provinces compris, de 47 points supĂ©rieur Ă  celui de la province de l’Estuaire et mĂȘme 80 points supĂ©rieur Ă  ceux des provinces de l’OgoouĂ© Maritime et du Woleu Ntem. Il en rĂ©sulte que la population du Haut-OgoouĂ© doublerait tous les 16 ans contre un doublement de la population tous les 21 ans pour l’Estuaire et tous les 24 ans pour le Gabon tout entier. Gabon Taux d’accroissement de la population par province entre 1993 et 2013 Quant aux provinces de l’OgoouĂ© Ivindo 30%, de la NgouniĂ© 30%, de la Nyanga 34% et de l’OgoouĂ© Lolo 50%, leurs taux d’accroissement de la population n’excĂšdent pas 50%. Ainsi les 4 provinces rĂ©putĂ©es les moins peuplĂ©es du pays seraient Ă©galement celles oĂč le taux d’accroissement de la population est le plus faible. Gabon Taux d’accroissement de la population par province entre 1993 et 2013 Mays Mouissi Sources principales – Recensement gĂ©nĂ©ral de la population et des logements de 2013 RGPL 2013 – CommuniquĂ© final du conseil des ministres du 2 juin 2016 – Gabon Likez » notre page Facebook pour rester connectĂ© Ă  l’information Ă©conomique sur l’Afrique

Prenonsl'exemple de deux villes de Californie aux Etats-Unis, San Francisco et Los Angeles. Ces deux villes se situent comme le montre la carte ci-dessous sur la faille de San AndrĂ©as oĂč le risque sismique est trĂšs Ă©levĂ©. Ces deux villes ont Ă©tĂ© plusieurs fois frappĂ©es par des tremblements de terre trĂšs violent. Et pourtant plus de 10

Cette carte signĂ©e Geostata permet d’examiner la densitĂ© de la population dans le monde. Il est, en effet, plus facile de croiser des voisins Ă  Hong-Kong que dans le Sahara, en raison de la concentration inĂ©gale des populations. On note que la majoritĂ© de la population mondiale est rĂ©partie dans l’hĂ©misphĂšre nord, concentrant 93 % des humains, contre seulement 7 % dans l’hĂ©misphĂšre sud ! Les habitants les plus isolĂ©s sont les Australiens et les NĂ©o-ZĂ©landais. L’Inde et la Chine attirent particuliĂšrement l’attention. L’Inde devrait dĂ©passer la Chine en nombre d’habitants d’ici 2022. D’ailleurs, cette photo aĂ©rienne de New Delhi, trĂšs impressionnante, montre une population indienne en pleine croissance dĂ©mographique. Les surfaces d’habitation sont devenues de plus en plus restreintes, en raison du surpeuplement. La cĂ©lĂšbre photo aĂ©rienne au dessus de la ville de New Delhi Si on se sent vaguement Ă  l’étroit en rĂ©gion parisienne, ce clichĂ©, ainsi que la carte, auront bien fait de nous convaincre que la France, et plus largement l’Europe, est finalement peu peuplĂ© en concentration. On ne compte que 98 habitants au km2 en France. D’ailleurs, la France mĂ©tropolitaine n’apparaĂźt pas dans le classement des pays avec la plus forte densitĂ© de population

Carte mondiale de la rĂ©partition de la population mondiale. Fichier vectoriel disponible . image vectorielle libre de droit Ă  tĂ©lĂ©charger Illustration vectorielle 7996601 Énorme collection de
Principaux faitsAu total, 1,5 million de personnes sont mortes de la tuberculose en 2020 dont 214 000 prĂ©sentaient Ă©galement une infection Ă  VIH. À l’échelle mondiale, la tuberculose est la 13e cause de mortalitĂ© et la deuxiĂšme due Ă  une maladie infectieuse, derriĂšre la COVID-19 et avant le sida.Selon les estimations 9,9 millions de personnes ont dĂ©veloppĂ© la tuberculose dans le monde. Cela concerne 5,5 millions d’hommes, 3,3 millions de femmes et 1,1 million d’enfants. La tuberculose est prĂ©sente dans tous les pays et toutes les tranches d’ñge. Cependant, c’est une maladie que l’on peut Ă©viter et 2020, 1,1 million d’enfants ont dĂ©veloppĂ© la tuberculose dans le monde. Chez les enfants et les adolescents, la maladie n’est souvent pas reconnue par les prestataires de soins et elle peut ĂȘtre difficile Ă  diagnostiquer et Ă  tous les nouveaux cas de tuberculose enregistrĂ©s en 2020, 86 % sont survenus dans les 30 pays prĂ©sentant la plus forte charge de la maladie. Deux tiers des cas sont concentrĂ©s dans huit pays, avec l’Inde en tĂȘte, suivie de la Chine, de l’IndonĂ©sie, des Philippines, du Pakistan, du NigĂ©ria, du Bangladesh et de l’Afrique du de la tuberculose rĂ©gresse d’environ 2 % par an Ă  l’échelle mondiale. La baisse cumulĂ©e entre 2015 et 2020 se chiffre Ă  11 %, soit un peu plus de la moitiĂ© de la cible fixĂ©e dans la StratĂ©gie pour mettre fin Ă  la tuberculose, qui visait une rĂ©duction de 20 % entre 2015 et 2020. On estime que le diagnostic et le traitement de la tuberculose ont permis de sauver 66 millions de vies entre 2000 et le monde, prĂšs d’un mĂ©nage sur deux touchĂ© par la tuberculose doit faire face Ă  des coĂ»ts supĂ©rieurs Ă  20 % de ses revenus selon les derniĂšres donnĂ©es des enquĂȘtes nationales sur les coĂ»ts de la tuberculose pour les malades. La communautĂ© internationale n’a pas atteint son objectif intermĂ©diaire pour 2020 selon lequel personne, parmi les malades de la tuberculose et leurs familles, ne devrait supporter de coĂ»ts catastrophiques liĂ©s Ă  la 2022, il faudra 13 milliards de dollars chaque annĂ©e pour la prĂ©vention, le diagnostic, le traitement et la prise en charge de la tuberculose en vue d’atteindre l’objectif mondial convenu en 2018 lors de la rĂ©union de haut niveau des Nations Unies sur la tuberculose. Le financement dans les pays Ă  revenu faible et intermĂ©diaire, qui reprĂ©sentent 98 % des cas de tuberculose signalĂ©s, est bien loin de rĂ©pondre aux besoins. En 2020, les dĂ©penses se sont Ă©levĂ©es Ă  5,3 milliards de dollars soit moins de la moitiĂ© 41 % de l’objectif dĂ©penses ont diminuĂ© de 8,7 % en 2020 par rapport Ă  2019 de 5,8 Ă  5,3 milliards de dollars ce qui a ramenĂ© le financement de la lutte contre la tuberculose en 2020 au niveau de un terme Ă  l’épidĂ©mie de tuberculose d’ici Ă  2030 figure parmi les cibles pour la santĂ© des objectifs de dĂ©veloppement durable des Nations tuberculose est due Ă  une bactĂ©rie Mycobacterium tuberculosis qui touche le plus souvent les poumons. C’est une maladie que l’on peut prĂ©venir et tuberculose se transmet d’une personne Ă  l’autre par voie aĂ©rienne. Quand une personne ayant une tuberculose pulmonaire tousse, Ă©ternue ou crache, elle projette des bacilles tuberculeux dans l’air. Il suffit d’en inhaler seulement quelques-uns pour s’ un quart de la population mondiale prĂ©sente une infection tuberculeuse latente, ce qui signifie que ces personnes ont Ă©tĂ© infectĂ©es par le bacille tuberculeux, mais ne sont pas encore malades et ne peuvent pas transmettre la toute la durĂ©e de leur vie, les sujets infectĂ©s par le bacille tuberculeux ont 5 Ă  10 % de risque de dĂ©velopper la maladie. Ce risque est toutefois beaucoup plus Ă©levĂ© chez les personnes qui ont un systĂšme immunitaire dĂ©ficient, notamment celles qui vivent avec le VIH ou qui souffrent de malnutrition ou de diabĂšte, ainsi que chez les consommateurs de tuberculose Ă©volutive apparaĂźt, les symptĂŽmes tels que toux, fiĂšvre, sueurs nocturnes ou perte de poids peuvent rester bĂ©nins pendant de nombreux mois. Par consĂ©quent, il arrive que les malades tardent Ă  consulter un mĂ©decin, ce qui favorise la transmission du bacille Ă  d’autres personnes. Un sujet ayant une tuberculose Ă©volutive peut infecter 5 Ă  15 autres personnes par an lors de ses contacts proches. En l’absence de traitement, en moyenne 45 % des sujets tuberculeux nĂ©gatifs pour le VIH mourront, de mĂȘme que pratiquement tous ceux qui sont aussi est le plus exposĂ© au risque ?La tuberculose touche surtout les adultes pendant les annĂ©es oĂč ils sont le plus productifs, mais le risque existe pour toutes les tranches d’ñges. On recense plus de 95 % des cas et des dĂ©cĂšs dans les pays en sujets infectĂ©s par le VIH ont 18 fois plus de risque de dĂ©velopper une tuberculose Ă©volutive voir ci-dessous la section sur la tuberculose et le VIH. Le risque est Ă©galement plus Ă©levĂ© pour ceux qui souffrent d’autres affections affaiblissant le systĂšme immunitaire. Chez les personnes souffrant de dĂ©nutrition, le risque est trois fois plus Ă©levĂ© que la normale. En 2020, 1,9 million de nouveaux cas de tuberculose Ă©taient imputables Ă  la dĂ©nutrition dans le troubles liĂ©s Ă  la consommation d’alcool et le tabagisme augmentent le risque d’apparition de la maladie d’un facteur 3,3 et 1,6, respectivement. Parmi les nouveaux cas de tuberculose survenus dans le monde en 2020, 0,74 million Ă©taient imputables Ă  des troubles liĂ©s Ă  la consommation d’alcool et 0,73 million au mondial de la tuberculoseLa tuberculose est prĂ©sente dans toutes les rĂ©gions du monde. En 2020, la RĂ©gion de l’OMS ayant enregistrĂ© le plus grand nombre de nouveaux cas de tuberculose Ă©tait celle de l’Asie du Sud-Est 43 % de tous les nouveaux cas, suivie de la RĂ©gion africaine 25 % et de la RĂ©gion du Pacifique occidental 18 %.En 2020, 86 % des nouveaux cas se sont produits dans les 30 pays Ă  forte charge de la tuberculose. Deux tiers des cas sont concentrĂ©s dans huit pays l’Inde, la Chine, l’IndonĂ©sie, les Philippines, le Pakistan, le NigĂ©ria, le Bangladesh et l’Afrique du et diagnosticLes symptĂŽmes courants de la tuberculose pulmonaire Ă©volutive sont une toux accompagnĂ©e d’expectorations parfois teintĂ©es de sang, des douleurs thoraciques, un Ă©tat de faiblesse, une perte de poids, de la fiĂšvre et des sueurs nocturnes. L’OMS prĂ©conise d’utiliser des tests molĂ©culaires rapides pour le diagnostic initial de toutes les personnes prĂ©sentant des signes et des symptĂŽmes de tuberculose. Ces tests sont en effet trĂšs fiables et permettront de faire des progrĂšs considĂ©rables dans la dĂ©tection prĂ©coce des cas de tuberculose et de tuberculose pharmacorĂ©sistante. Les tests rapides suivants sont recommandĂ©s par l’OMS Xpert MTB/RIF, Xpert MTB/RIF Ultra et la tuberculose multirĂ©sistante et d’autres formes de tuberculose pharmacorĂ©sistante voir ci-dessous la section sur la tuberculose multirĂ©sistante, ainsi que pour la tuberculose associĂ©e au VIH, le diagnostic peut ĂȘtre complexe et tuberculose est particuliĂšrement difficile Ă  diagnostiquer chez l’ tuberculose est une maladie que l’on peut soigner et guĂ©rir. Pour la tuberculose Ă©volutive sensible aux mĂ©dicaments, on administre un traitement standard de 6 mois associant 4 mĂ©dicaments antituberculeux en l’accompagnant des informations et d’une aide au patient assurĂ©e par un agent de santĂ© ou un bĂ©nĂ©vole entraĂźnĂ©. Sans ce soutien, il est plus difficile pour les patients d’observer leur estime que le diagnostic et le traitement de la tuberculose ont permis de sauver 66 millions de vies depuis et VIHLes sujets infectĂ©s par la tuberculose et Ă©galement par le VIH ont 18 fois plus de risque de dĂ©velopper une tuberculose Ă©volutive que les autres intervalle d’incertitude 15 Ă  21.La tuberculose et le VIH forment une association meurtriĂšre, chacun accĂ©lĂ©rant l’évolution de l’autre. En 2020, environ 214 000 personnes sont mortes d’une tuberculose associĂ©e au VIH. Le pourcentage de cas notifiĂ©s de tuberculose pour lesquels un rĂ©sultat attestĂ© de test de dĂ©pistage du VIH Ă©tait disponible ne s’établissait qu’à 73 % en 2020, contre 70 % en 2019. Dans la RĂ©gion africaine de l’OMS, oĂč la charge de la tuberculose associĂ©e au VIH est la plus Ă©levĂ©e, 85 % des patients atteints de tuberculose disposaient d’un rĂ©sultat attestĂ© au test de dĂ©pistage du VIH. Globalement, parmi les patients tuberculeux dont l’infection Ă  VIH Ă©tait connue, 88 % Ă©taient sous traitement antirĂ©troviral en recommande une approche rĂ©unissant 12 composantes pour des activitĂ©s intĂ©grĂ©es contre la tuberculose et le VIH, avec des actions pour la prĂ©vention et le traitement de l’infection et de la maladie, afin de rĂ©duire la multirĂ©sistanteOn utilise les mĂ©dicaments antituberculeux depuis des dĂ©cennies et on a mis en Ă©vidence des souches rĂ©sistantes Ă  un ou plusieurs mĂ©dicaments dans chaque pays Ă©tudiĂ©. La rĂ©sistance apparaĂźt quand les mĂ©dicaments antituberculeux ne sont pas utilisĂ©s comme il faut, du fait de prescriptions incorrectes de la part des professionnels de la santĂ©, de mĂ©dicaments de mauvaise qualitĂ© ou des patients qui interrompent prĂ©maturĂ©ment leur tuberculose multirĂ©sistante est une forme de la maladie due Ă  un bacille ne rĂ©agissant pas Ă  l’isoniazide et Ă  la rifampicine, les deux mĂ©dicaments antituberculeux de premiĂšre intention les plus efficaces. On peut nĂ©anmoins soigner et guĂ©rir la tuberculose multirĂ©sistante avec des mĂ©dicaments de deuxiĂšme intention. Ces options thĂ©rapeutiques sont toutefois plus limitĂ©es et nĂ©cessitent une administration de longue durĂ©e jusqu’à 2 ans de traitement de mĂ©dicaments Ă  la fois chers et certains cas, une rĂ©sistance plus sĂ©vĂšre peut se dĂ©velopper. Lorsque les bacilles responsables de la maladie ne sont pas sensibles aux mĂ©dicaments de deuxiĂšme intention les plus efficaces, les patients peuvent se trouver Ă  court d’options tuberculose multirĂ©sistante demeure une crise de santĂ© publique et une menace pour la sĂ©curitĂ© sanitaire. Seul un tiers environ des personnes atteintes de tuberculose pharmacorĂ©sistante ont eu accĂšs au traitement en 2020. Dans le monde en 2018, le taux de succĂšs thĂ©rapeutique chez les patients atteints de tuberculose multirĂ©sistante/rĂ©sistante Ă  la rifampicine Ă©tait de 59 %. En 2020, l’OMS a recommandĂ© que les patients atteints de tuberculose multirĂ©sistante soient traitĂ©s selon un nouveau schĂ©ma thĂ©rapeutique, qui est plus court 9 Ă  11 mois et administrĂ© exclusivement par voie orale. Les Ă©tudes ont montrĂ© que les patients parviennent plus facilement Ă  suivre ce traitement jusqu’au bout, par rapport aux autres traitements dont la durĂ©e peut aller jusqu’à 20 mois. Avant de commencer ce traitement, il faut exclure toute rĂ©sistance aux aux lignes directrices de l’OMS, le diagnostic d’une tuberculose multirĂ©sistante ou rĂ©sistante Ă  la rifampicine doit reposer sur une confirmation bactĂ©riologique de la tuberculose et sur une mise en Ă©vidence de la pharmacorĂ©sistance Ă  l’aide de tests molĂ©culaires rapides, de mĂ©thodes de culture ou de techniques de sĂ©quençage. Le traitement nĂ©cessite l’administration de mĂ©dicaments de deuxiĂšme intention pendant une pĂ©riode comprise entre 9 et 20 mois et s’accompagne d’un service de conseil aux patients et d’une surveillance des effets indĂ©sirables. L’OMS prĂ©conise d’élargir l’accĂšs aux traitements administrĂ©s exclusivement par voie la fin 2020, 65 pays avaient commencĂ© Ă  utiliser des schĂ©mas thĂ©rapeutiques de plus courte durĂ©e pour traiter la tuberculose multirĂ©sistante et 109 avaient commencĂ© Ă  utiliser la bĂ©daquiline en vue d’amĂ©liorer l’efficacitĂ© du traitement contre la tuberculose catastrophique La StratĂ©gie de l’OMS pour mettre fin Ă  la tuberculose a fixĂ© un objectif visant Ă  ce qu’aucune personne ou famille touchĂ©e par la tuberculose ne supporte de coĂ»ts catastrophiques pour les soins. Le suivi de cet objectif par les pays et par l’OMS depuis l’adoption de la StratĂ©gie par l’AssemblĂ©e de la SantĂ© en 2015 rĂ©solution montre que la communautĂ© internationale n’a pas atteint le jalon de 0 % pour les rĂ©sultats de 23 enquĂȘtes nationales sur les coĂ»ts auxquels sont confrontĂ©s les patients atteints de tuberculose et leurs familles, le pourcentage de patients confrontĂ©s Ă  des coĂ»ts catastrophiques* allait de 13 % Ă  92 % et la moyenne commune, pondĂ©rĂ©e en fonction du nombre de cas notifiĂ©s dans chaque pays, Ă©tait de 47 % intervalle de confiance Ă  95 % 33-61 %. *coĂ»ts totaux > 20 % des revenus annuels du mĂ©nageInvestissements dans la prĂ©vention, le diagnostic et le traitement de la tuberculose et dans la rechercheIl faut 13 milliards de dollars chaque annĂ©e pour la prĂ©vention, le diagnostic, le traitement et la prise en charge de la tuberculose en vue d’atteindre les objectifs mondiaux convenus lors de la rĂ©union de haut niveau des Nations Unies sur la tuberculose. Or, les investissements dans la prĂ©vention, le diagnostic et la prise en charge de la tuberculose dans les pays Ă  revenu faible ou intermĂ©diaire, qui reprĂ©sentent 98 % des cas de tuberculose signalĂ©s, sont loin de rĂ©pondre aux besoins. Moins de la moitiĂ© 41 % de l’objectif mondial de financement pour la lutte contre la tuberculose est disponible, ce qui laisse un dĂ©ficit de financement de 7,7 milliards de dollars en 2020 [1] pour atteindre les objectifs financement de la tuberculose est revenu au niveau de 2016 avec une baisse de 8,7 % des dĂ©penses allouĂ©es Ă  la maladie en 2020 par rapport Ă  2019 de 5,8 Ă  5,3 milliards de dollars les 5,3 milliards de dollars de financement disponibles pour lutter contre la tuberculose en 2020, 81 % provenaient de sources nationales, les pays du groupe BRICS BrĂ©sil, FĂ©dĂ©ration de Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud reprĂ©sentant 2,8 milliards de dollars 65 % du financement national total.Au cours de la derniĂšre dĂ©cennie, les bailleurs de fonds internationaux ont investi 0,9 milliard de dollars chaque annĂ©e dans la lutte contre la tuberculose, la contribution la plus importante, 76 %, venant du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme le Fonds mondial. Le Gouvernement des États-Unis est le principal bailleur de fonds du Fonds mondial et aussi le plus grand donateur bilatĂ©ral. Globalement, il apporte prĂšs de 50 % du financement international en lien avec la donnĂ©es provisoires sur le financement de la lutte contre la tuberculose en 2021 laissent entendre que les sommes allouĂ©es pour 2021 ne suffiront toujours pas. Il est urgent d’accroĂźtre les financements nationaux et internationaux allouĂ©s Ă  la lutte contre la le Treatment Action Group, il n’y a eu que 0,9 milliard de dollars de disponible en 2019 pour la recherche et le dĂ©veloppement sur les 2 milliards nĂ©cessaires chaque annĂ©e pour accĂ©lĂ©rer la mise au point de nouveaux outils. Au moins 1,1 milliard de dollars supplĂ©mentaires par an sont nĂ©cessaires pour accĂ©lĂ©rer le dĂ©veloppement de nouveaux outils. Engagements de la communautĂ© mondiale et action de l’OMSLe 26 septembre 2018, les Nations Unies ont tenu leur premiĂšre rĂ©union de haut niveau sur la tuberculose, portant ainsi la question Ă  un niveau supĂ©rieur, celui des chefs d’État et de gouvernement, pour examiner la situation de l’épidĂ©mie de tuberculose et discuter des efforts Ă  dĂ©ployer pour y mettre fin. Cette rĂ©union faisait suite Ă  la premiĂšre confĂ©rence ministĂ©rielle mondiale sur la tuberculose, organisĂ©e par l’OMS et le gouvernement russe en novembre 2017. Elle a abouti Ă  une dĂ©claration politique approuvĂ©e par tous les États Membres des Nations Unies, qui rĂ©affirmait les engagements dĂ©jĂ  pris en faveur des ODD et de la StratĂ©gie pour mettre fin Ă  la tuberculose de l’OMS et fixait de nouveaux cible des ODD vise notamment Ă  mettre un terme Ă  l’épidĂ©mie de tuberculose Ă  l’horizon 2030. La StratĂ©gie pour mettre fin Ă  la tuberculose dĂ©finit des objectifs intermĂ©diaires pour 2020 et 2025 et des cibles pour 2030 et 2035 en termes de rĂ©duction des cas et des dĂ©cĂšs liĂ©s Ă  la tuberculose. Les cibles pour 2030 consistent Ă  rĂ©duire de 90 % le nombre de dĂ©cĂšs dus Ă  la tuberculose et Ă  faire reculer de 80 % l’incidence de la maladie nombre de nouveaux cas par an pour 100 000 habitants par rapport Ă  2015. Les objectifs intermĂ©diaires pour 2020 sont les suivants rĂ©duction de 35 % du nombre de dĂ©cĂšs dus Ă  la tuberculose et baisse de 20 % de l’incidence de la maladie. La stratĂ©gie prĂ©voit Ă©galement un objectif intermĂ©diaire pour 2020 selon lequel personne, parmi les malades de la tuberculose et leurs familles, ne devrait supporter de coĂ»ts catastrophiques liĂ©s Ă  la dĂ©claration politique issue de la rĂ©union de haut niveau des Nations Unies comprend quatre nouvelles cibles mondiales traiter 40 millions de personnes atteintes de tuberculose dans la pĂ©riode de 5 ans allant de 2018 Ă  2022 ;administrer un traitement prĂ©ventif Ă  au moins 30 millions de personnes prĂ©sentant une infection tuberculeuse latente dans la pĂ©riode de 5 ans allant de 2018 Ă  2022 ;mobiliser au moins 13 milliards de dollars des États-Unis par an pour favoriser l’accĂšs universel au diagnostic, au traitement et Ă  la prise en charge de la tuberculose d’ici Ă  2022 ;mobiliser au moins 2 milliards de dollars des États-Unis par an pour la recherche sur la donner suite aux demandes formulĂ©es dans la dĂ©claration politique L’OMS a mis au point et publiĂ© un cadre de responsabilisation multisectorielle pour la tuberculose en 2019. L’Organisation aide les pays Ă  adapter et Ă  utiliser ce cadre afin de concrĂ©tiser les engagements pris et de suivre, communiquer et Ă©valuer les progrĂšs accomplis, avec un encadrement de haut niveau et la participation de tous les secteurs concernĂ©s, de la sociĂ©tĂ© civile et d’autres parties 2020, un rapport de situation du SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations Unies Ă  l’intention de l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale a Ă©tĂ© prĂ©parĂ© et publiĂ© avec l’appui de l’ de haut niveau pour la responsabilisation multisectorielle comprend par exemple des initiatives prises par les prĂ©sidents ou chefs d’État pour mettre fin Ă  la tuberculose et des mĂ©canismes officiels de participation et de responsabilisation des parties prenantes en Inde, en IndonĂ©sie, au Pakistan, aux Philippines et au Viet Nam, ainsi que des campagnes nationales pour accĂ©lĂ©rer les progrĂšs, comme la campagne Race to End TB ».L’OMS travaille en Ă©troite collaboration avec les pays, les partenaires et la sociĂ©tĂ© civile pour intensifier la riposte Ă  la tuberculose. Elle s’emploie Ă  assurer six fonctions essentielles pour contribuer Ă  la rĂ©alisation des cibles Ă©tablies dans la dĂ©claration politique issue de la rĂ©union de haut niveau des Nations Unies, les ODD, la StratĂ©gie pour mettre fin Ă  la tuberculose et les prioritĂ©s stratĂ©giques de l’OMS jouer un rĂŽle directeur au niveau mondial pour mettre fin Ă  la tuberculose en Ă©laborant des stratĂ©gies, en favorisant l’engagement politique et multisectoriel et en renforçant les mĂ©canismes d’examen et de responsabilisation, le plaidoyer et les partenariats, y compris avec la sociĂ©tĂ© civile ;orienter le programme de recherche et d’innovation sur la tuberculose et stimuler la production, la traduction et la diffusion des connaissances ;dĂ©finir des normes en matiĂšre de prĂ©vention et de prise en charge de la tuberculose et promouvoir et faciliter leur application ;Ă©laborer et promouvoir des politiques Ă©thiques fondĂ©es sur des donnĂ©es probantes pour la prĂ©vention et la prise en charge de la tuberculose ;veiller Ă  ce qu’un soutien technique spĂ©cialisĂ© soit fourni aux États Membres et aux partenaires, en collaboration avec les bureaux rĂ©gionaux et aux bureaux de pays de l’OMS, jouer le rĂŽle de catalyseur de changement et mettre en place des capacitĂ©s durables ;suivre la situation de l’épidĂ©mie de tuberculose, ainsi que des progrĂšs accomplis dans le financement et la mise en Ɠuvre des interventions aux niveaux mondial, rĂ©gional et national, et en rendre compte.
Lapopulation mondiale actuelle est de 7,3 milliards d’ĂȘtres humains. Elle continue d’augmenter mais Ă  un rythme moins soutenu que par le passĂ©. Elle devrait croĂźtre de 1 milliard d’ici 15 ans et de 1 milliard supplĂ©mentaire d’ici 25 ans, pour atteindre 9,7 milliards de personnes en 2050. Selon les projections des variations
Des populations privĂ©es d’eau potable Carte publiĂ©e en 1998. Sources Rapport mondial sur le dĂ©veloppement humain, PNUD, 1998 ; Le monde peut-il nourrir le monde ? », Les clĂ©s de la planĂšte, hors-sĂ©rie n°1, Croissance, Paris, 1998.
DĂ©finition La densitĂ© de population est le nombre de personnes par unitĂ© de surface. Description: La carte affichĂ©e ici montre comment DensitĂ© de population varie selon les pays. La nuance de couleur du pays correspond Ă  l'ampleur de l'indicateur. Plus la nuance de couleur est foncĂ©e, plus la valeur est Ă©levĂ©e. Quelle: CIA World Une petite sĂ©quence de gĂ©ographie assez classique Ă  destination des 6Ăšmes sur la rĂ©partition de la population mondiale. J’ai choisi de traiter cette sĂ©quence en premier lieu pour pouvoir retravailler en mĂȘme temps les repĂšres gĂ©ographiques continents et grands pays du monde. Cette sĂ©quence se divise en trois parties PremiĂšre partie l’inĂ©gale rĂ©partition de la population sur Terre Objectif localiser les principaux foyers de peuplement CompĂ©tences Savoir utiliser un atlas Construire une reprĂ©sentation statistique Documents la fiche de travail et le document support pour l’activitĂ© 3 DeuxiĂšme partie la densitĂ© de population ActivitĂ© 1 dans la cour, on trace Ă  la craie des carrĂ©s de diffĂ©rentes superficies 1 mÂČ et 4 mÂČ par exemple et on fait varier le nombre d’élĂšves Ă  l’intĂ©rieur. On montre aux Ă©lĂšves que la densitĂ© n’est pas liĂ©e uniquement au nombre d’habitants mais Ă©galement Ă  la superficie du territoire considĂ©rĂ©. ActivitĂ© 2 exercices d’application TroisiĂšme partie les facteurs explicatifs au peuplement CompĂ©tence travaillĂ©e analyser un document gĂ©ographique Objectif expliquer les facteurs de peuplement sans tomber dans le dĂ©terminisme Voici les documents de travail. Également ici, une proposition de trace Ă©crite Ă©laborĂ©e toute au long de la sĂ©quence. ProposĂ©s en fin de sĂ©quence, des mots croisĂ©s de rĂ©vision.
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  • carte de la rĂ©partition de la population mondiale