Cedocument décrit comment générer une clé privée de Protocole Secure Shell (SSH) et utiliser cela pour le nom d'utilisateur et l'authentification en se connectant dans l'interface de ligne de commande (CLI) sur l'appliance de sécurité du courrier électronique de Cisco (ESA). Comment configurer l'authentification de clé publique de SSH De l'avertissement à la révocation, en passant par le blâme, la rétrogradation, ou encore l'exclusion temporaire, l'administration doit, selon la qualité de l'agent titulaire ou non titulaire, dans le cadre de la procédure disciplinaire, choisir la sanction sans se suspension n'est pas une sanction disciplinaire mais elle doit reposer sur une présomption de sanctionner, l'administration doit respecter une procédure destinée à informer l'agent et lui permettre d'assurer sa de l'obligation de discrétion professionnelle, négligences, retards, cumul illégal d'activités publique et privée... Un agent public1 qui a commis une faute peut se voir infliger une sanction prévue par les textes régissant son statut loi n° 84-16 du 11 janvier 1984, s'il exerce pour l'État, loi n° 84-53 s'il est dans la fonction publique territoriale, ou loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 s'il travaille dans la fonction publique hospitalière. Qui doit engager la procédure en cas de faute disciplinaire ? Et quels sont les droits de l'agent ? Faute disciplinaire les agissements condamnables... Tout fonctionnaire, qu'il exerce dans l'une des trois fonctions publiques État, territoriale ou hospitalière, et quel que soit son rang dans la hiérarchie, est responsable de l'exécution des tâches qui lui sont confiées. Ce principe est également applicable aux agents non titulaires contractuels, vacataires, remplaçants.... Dès lors, toute faute commise dans ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions, l'expose à une suspension et/ou une sanction disciplinaire. Par ailleurs, pour les mêmes faits, un agent public peut faire l'objet d'une sanction disciplinaire et d'une sanction pénale. En effet, le droit disciplinaire est autonome par rapport au droit pénal la répression disciplinaire et la répression pénale s'exercent donc distinctement un même fait peut justifier à l'encontre de la même personne à la fois une sanction pénale et disciplinaire ; l'autorité investie du pouvoir disciplinaire n'est pas liée par la décision intervenue au pénal, sauf en ce qui concerne la constatation matérielle des faits et lorsqu'une sanction pénale entraîne soit une déchéance des droits civiques, soit une déchéance de la nationalité française, soit une interdiction d'exercer toute fonction ou emploi public. Ce type de sanctions pénales a pour conséquence de perdre la qualité de fonctionnaire et s'impose à l'autorité ayant pouvoir disciplinaire. De manière générale, peuvent entraîner une sanction éventuelle, les agissements suivants le non-respect des règles de discipline fixées par le règlement intérieur ou par note de service ; le refus de se conformer à un ordre, sauf si ce dernier est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public ; le non-respect de l'obligation de discrétion et de loyauté ; les critiques, injures, menaces, violences ; les erreurs ou négligences commises dans l'exercice de ses fonctions ; tout acte de harcèlement. En outre, les manquements dans la vie privée peuvent aussi être retenus comme faute s'ils portent atteinte à la dignité du corps auquel appartient l'agent. Le pouvoir disciplinaire appartient à l'autorité ayant le pouvoir de recruter ministre, autorité territoriale maire, président de région ou département, directeur d'établissement public notamment hospitalier. L'autorité disciplinaire détermine si les faits sont fautifs ou non et le cas échéant, si la faute mérite une sanction ainsi que le type de sanction. Sanctions disciplinaires envisageables et sanctions interdites Avant d'envisager de prendre la mesure en adéquation avec la faute commise, il est donc important pour l'autorité de connaître les sanctions limitativement prévues par la loi2 Celles applicables aux fonctionnaires sont réparties en quatre groupes 3 premier groupe pour les fautes légères l'avertissement, le blâme, l'exclusion temporaire de fonctions pour une durée maximale de trois jours ; deuxième groupe l'abaissement d'échelon, l'exclusion temporaire de fonctions pour une durée de quatre à quinze jours ; troisième groupe la rétrogradation ; l'exclusion temporaire de fonctions pour une durée de seize jours à deux ans ; quatrième groupe pour les fautes les plus graves la mise à la retraite d'office, la révocation. En revanche, pour les agents non titulaires pour qui la notion de groupe n'existe pas, les sanctions sont au nombre de quatre avertissement, blâme, exclusion temporaire de fonctions pour une durée maximale de six mois pour les agents en CDD ou d'un an pour les agents en CDI, licenciement sans préavis ni indemnité. Donc, même en cas de comportement fautif de l'agent, l'autorité n'est pas autorisée au risque de voir sa décision annulée par le juge administratif en cas de contentieuxà prononcer, par exemple, des sanctions pécuniaires ou amendes, sanctions discriminatoires en considération de l'origine, du sexe, des moeurs, des activités syndicales..., celles prises à l'encontre d'un agent victime ou témoin de harcèlement sexuel ou moral, ou encore celles qui font suite à l'exercice par l'agent de son droit de retrait pour danger grave et imminent. L'autorité disciplinaire devant choisir une sanction proportionnée à la gravité de la faute, ce choix tiendra notamment compte de la nature des missions confiées au service et des obligations particulières qui incombent à l'agent, ainsi que du comportement passé de ce dernier par exemple, en raison de ses négligences professionnelles répétées et de retards ayant perturbé gravement le fonctionnement du service et la confiance de ses interlocuteurs extérieurs, un fonctionnaire territorial a pu être sanctionné par une exclusion temporaire d'une journée. En revanche, une seule sanction disciplinaire peut être prise à l'égard des mêmes faits. Mais avant de lancer la procédure disciplinaire proprement dite, l'autorité peut décider, en cas de faute grave commise, qu'il s'agisse d'un manquement aux obligations professionnelles ou d'une infraction de droit commun, de suspendre l'intéressé de ses fonctions, dans l'intérêt du service et/ou de l'agent lui-même. La suspension une mesure conservatoire afin de protéger l'intérêt du service public En suspendant l'agent, l'autorité exclut l'agent du service mais ce dernier conserve le bénéfice de son traitement, de l'indemnité de résidence et du supplément familial de traitement. La suspension n'est pas une sanction, c'est une mesure conservatoire qui vise à écarter l'agent dans l'intérêt du service public et elle ne préjuge pas de la sanction qui sera finalement appliquée. Elle est limitée à quatre mois la situation de l'agent doit être définitivement réglée dans ce délai. À défaut, l'agent doit être rétabli dans ses fonctions sauf s'il fait l'objet de poursuites pénales. Dans ce cas ex. pour des faits graves tels que le vol..., il ne reprend pas son poste et peut subir une retenue de 50 % sur son traitement et l'indemnité de résidence. La mise en oeuvre de la procédure disciplinaire des règles à suivre scrupuleusement... Pour engager des procédures disciplinaires à l'encontre d'un agent qui mérite objectivement d'être sanctionné, les employeurs ont les moyens d'agir mais ils doivent le faire avec beaucoup de vigilance. Les règles sont précises et offrent à l'agent poursuivi des garanties importantes. Toutefois, cela ne doit en rien laisser croire aux agents que tant qu'ils ne commettent pas un acte d'une particulière gravité, la quasi-impunité leur est acquise. Ainsi, sauf si la sanction envisagée relève du 1er groupe fautes légères, l'autorité compétente pour prononcer la sanction doit consulter au préalable la commission administrative paritaire siégeant en conseil de discipline. Celui-ci est saisi par un rapport de l'autorité où sont précisés les faits reprochés et les circonstances dans lesquelles ils ont été commis. Bon à savoir l'avis du conseil de discipline ne lie pas l'autorité. Une particularité pour les agents non titulaires. Le texte les régissant décret n° 88-145 du 15 février 1988 n'a pas prévu de recours possible devant le conseil de discipline. Quelle que soit la sanction envisagée, l'agent fonctionnaire ou non titulaire a droit à la communication de son dossier et de tous les documents annexes, et doit pouvoir préparer sa défense ex. être informé de ses droits, avoir connaissance de l'ensemble des faits reprochés, disposer d'un délai suffisant pour préparer sa défense.... Il peut être accompagné du défenseur de son choix représentant syndical, avocat, ou toute autre personne. Une fois prononcée, la sanction doit être notifiée à l'agent par son employeur. Enfin, la décision prononçant une sanction disciplinaire et, le cas échéant, l'avis du conseil de discipline doivent être motivés. L'autorité peut décider, après avis du conseil de discipline, de rendre publics la décision portant sanction et ses motifs. Sursis, inscription au dossier individuel, privation de rémunération... Quels sont les effets d'une sanction disciplinaire ? Et après ? S'agissant des sanctions du 1er groupe - l'exclusion temporaire de fonctions aura pour effet d'exclure le fonctionnaire de son service pendant une certaine période un à trois jours il ne percevra plus aucune rémunération. À noter toutefois que l'exclusion temporaire prononcée ici peut être assortie d'un sursis total ou partiel ; - seuls le blâme et l'exclusion temporaire sont inscrits au dossier individuel4 de l'agent. Au bout de trois ans, ils sont automatiquement effacés si aucune autre sanction n'est intervenue. Lorsqu'il s'agit d'une exclusion du 3e groupe, le sursis est également possible mais il est limité il ne peut pas avoir pour effet de ramener la durée de cette exclusion à moins de trois mois. Par ailleurs, l'intervention d'une sanction du 2e ou du 3e groupe pendant une période de cinq ans après le prononcé de l'exclusion temporaire entraîne la révocation du sursis. En revanche, si aucune sanction disciplinaire du 2e et du 3e groupe n'est prononcée durant la même période, le fonctionnaire concerné est définitivement dispensé de l'accomplissement de la partie de la sanction pour laquelle il a bénéficié du sursis. Le fonctionnaire frappé d'une sanction du 2e ou du 3e groupe peut, après dix années de services effectifs à compter de la date de celle-ci, demander à l'autorité dont il relève à ce qu'aucune trace de la sanction ne subsiste dans son dossier. Si par son comportement général, l'intéressé a donné toute satisfaction, il est fait droit à sa demande. L'autorité statue après avis du conseil de discipline. En outre, le dossier de l'intéressé est reconstitué dans sa nouvelle composition, sous le contrôle du président du conseil de discipline. Dans la fonction publique d'État, la radiation du tableau d'avancement peut également être prononcée à titre de sanction complémentaire d'une des sanctions du 2e ou du 3e groupe. Une garantie fondamentale la possibilité offerte à l'agent de contester la sanction prononcée La sanction disciplinaire prononcée, l'agent dispose, pour la contester, de plusieurs voies de recours, recours qui constituent une autre garantie fondamentale pour les agents. Il en existe trois le recours gracieux ou hiérarchique le fonctionnaire ou le non-titulaire qui s'estime frappé d'une sanction abusive peut présenter un recours gracieux auprès de l'autorité qui a infligé la sanction. L'autorité peut alors décider de la maintenir, l'atténuer ou la retirer. Pour cela, elle devra respecter les conditions de droit commun relatives aux actes administratifs la nouvelle décision devra être motivée, mentionner les voies et délais de recours... Enfin, si la décision initiale est retirée pour illégalité, l'autorité devra s'exécuter dans un délai de quatre mois suivant la prise de la décision à retirer5 ; dans certains cas, un recours devant la commission de recours du conseil supérieur de la fonction publique d'État, le conseil de discipline de recours dans la FPT, ou devant la commission de recours du conseil supérieur de la FPH, est envisageable dans les conditions précisées à l'article 10 du décret n° 84-961 du 25 octobre 1984 ex. peuvent saisir la commission de recours du CSFPE les fonctionnaires titulaires ayant fait l'objet d'une mise à la retraite d'office ou d'une révocation, alors que le conseil de discipline avait proposé une sanction moins sévère. L'administration, lors de la notification de la sanction, doit communiquer à l'intéressé les informations de nature à lui permettre de déterminer si les conditions de saisine de la commission de recours se trouvent réunies. Ce type de recours ne suspend pas l'exécution de la sanction. La commission émet soit un avis déclarant qu'il n'y a pas lieu de donner suite à la requête qui lui a été présentée », soit une recommandation tendant à faire lever ou modifier la sanction infligée. Mais, la recommandation ne lie pas l'autorité qui reste libre de maintenir la sanction Si cette autorité accepte d'en tenir compte, sa nouvelle décision se substitue rétroactivement à celle qui a été initialement prise ; le recours contentieux devant le tribunal administratif il ne suspend pas l'exécution de la sanction et doit être présenté dans le délai de deux mois à compter de la date de notification de la décision contestée. Le juge administratif vérifie notamment la compétence de l'auteur, le respect des règles de forme et de procédure, l'exactitude matérielle des faits, s'il n'y a pas eu violation de la loi, détournement de procédure ou de pouvoir ou encore si l'agent était responsable de ses actes lors de la commission des faits en cas d'altération des facultés ou de troubles pathologiques. Face au contentieux qui connaît une augmentation constante en raison de la gratuité de la procédure, de la meilleure connaissance par les agents de leurs droits..., si les employeurs ne peuvent ni ne doivent rien faire pour éviter le recours, une bonne chose en revanche à mettre en place, serait d'anticiper - dans la mesure du possible - d'une part, la faute elle-même, notamment, en rappelant les principes déontologiques par exemple, à l'arrivée de tout nouvel agent ; d'autre part, quand le mal est fait » d'anticiper le recours, en s'assurant de la légalité de la sanction prise. Références aux principaux textes officiels - Loi n° 83-634 du 13 juillet 1983, article19. - Loi n° 84-16 du 11 janvier 1984. - Loi n° 84-53 du 26 janvier 1984. - Décret n° 84-961 du 25 octobre 1984. - Décret n° 88-145 du 15 février 1988. Sandrine BOTTEAU 1. On entend ici par agent public un fonctionnaire/titulaire d'un grade souvent après réussite d'un concours ou un agent non titulaire souvent contractuel. 2. Cf. Références aux principaux textes officiels. 3. Source 4. Ce dossier comporte toutes les pièces relatives à la carrière de l'agent et à sa situation administrative. Le dossier individuel est gardé par l'administration DRH mais il suit le parcours de l'agent mutation, détachement. 5. Jurisprudence constante du juge administratif depuis l'arrêt du Conseil d'État dit Ternon » CE, 26 octobre 2001, Ternon.
Sit'es tout seul dans une session avec un c'est qu'il faut que tu utilises un eboot avec script bypass, si même après ça t'as toujours ce problème ce qui semble être le cas c'est que l'update.rpf n'est pas à jour pour la version 1.27.
Vérifié le 12 avril 2021 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreL'offre proposée pour un marché public doit répondre au besoin de l'acheteur. La lecture préalable des documents de la consultation permet d'éviter toute erreur. Pour pouvoir être examiné, le dossier de candidature et d'offre doit arriver avant la date-limite indiquée dans l'avis de marché et respecter les critères candidat doit respecter les conditions suivantes Il doit avoir envoyé sa candidature dans les délais indiquésIl doit pouvoir exercer l’activité professionnelleIl doit disposer de la capacité économique et financière ou des capacités techniques et professionnelles nécessaires à l'exécution du marchéL'acheteur détermine librement les conditions de l'appel d'offres et de la présentation de la réponse qu'il attend dans l'avis de marché titleContent ou les documents de la consultation peut, par exemple, demander aux candidats d'utiliser certains formulaires si ces demandes ne relèvent pas directement de la législation des marchés publics, elles doivent être respectées par les candidat doit éviter l'utilisation d'un dossier type utilisé pour tous les marchés publics auxquels il répond et doit personnaliser sa réponse en fonction de chaque marché fixe les critères objectifs qu'il va utiliser. Il peut notamment requérir des niveaux de capacité en termes d'effectif salarial ou de qualification professionnelle, par exemple. Des renseignements peuvent également être demandés, tels que la déclaration de chiffre d'affaires, la déclaration appropriée de banques ou les bilans par qu'une offre soit examinée, elle doit être réceptionnée par l'acheteur dans le délai maximum indiqué dans l'avis de marché titleContent. Pour garantir l'égalité des candidats, chacun dispose en effet du même délai pour élaborer et remettre son candidat doit donc anticiper l'expiration du délai et prendre toutes les mesures nécessaires pour en respecter la date et l'heure limites. Il doit notamment tenir compte des horaires d'ouverture de l'acheteur pour les documents à remettre et du poids des documents pour les offres transmises par voie conditions suivantes permettent d'attester de façon fiable les date et heure de réception de l'offre Remise en mains propres contre récépissé mentionnant la date et l'heureRecommandé postal avec avis de réceptionTransmission électronique sur le profil d'acheteur de l'acheteurL'offre doit être transmise en une seule fois avant l'expiration du délai. Par exemple, si un pli arrive dans les temps mais que les échantillons demandés arrivent après l'échéance du délai, l'offre est considérée incomplète et ne pourra pas être examinée par l' savoir si plusieurs offres sont transmises successivement, seule la dernière reçue est ouverte. Pour modifier une offre déjà réceptionnée, le candidat doit en transmettre une nouvelle intégralement avant la fin du délai de réponse. Celle-ci sera admise et la première rejetée sans être certains cas, les candidats peuvent proposer une offre variante, c'est-à-dire une solution ou l'emploi de moyens autres que ceux qui ont été fixés dans les documents de la consultation offres variantes sont autorisées dans les marchés suivants Marchés passés selon une procédure adaptée si l'acheteur ne les a pas exclu dans les documents de la consultationMarchés passés selon une procédure formalisée. Pour ces marchés, il existe 2 possibilités Si le marché est passé par un pouvoir adjudicateur titleContent, les offres variantes sont interdites sauf si l'acheteur les autorise dans l'avis de marché ou dans l'invitation à confirmer l' le marché est passé par une entité adjudicatrice titleContent, les offres variantes sont autorisées sauf si l'acheteur les interdit dans les documents de la variantes permettent de faire ressortir des solutions innovantes ou d'employer des moyens inconnus de l' un marché de fournitures ou de services, l'acheteur ne peut pas refuser une offre variante si, en étant retenue, le marché est transformé de l'une des manières suivantes Le marché de services devient un marché de fournituresLe marché de fourniture devient un marché de servicesCertaines offres peuvent être écartées par l'acheteur, il s'agit des offres suivantes Offre irrégulière offre incomplète qui ne respecte pas les exigences formulées dans les documents consultés ou qui ne respecte pas la législation applicable en matière sociale et environnementaleOffre inacceptable offre dont le prix excède les crédits établis pour le marché avant le lancement de la procédureOffre inappropriée offre qui répond à un besoin autre que celui exprimé par l'acheteur offre proposant des ordinateurs de bureau alors que l'objet du marché porte sur des ordinateurs portables, par exempleC'est pourquoi il est essentiel de lire attentivement tous les documents de la consultation et de s'y le cadre d'un appel d'offres et dans une procédure adaptée sans négociation, les offres irrégulières, inacceptables ou inappropriées sont éliminées sans être examinées. Toutefois, l'acheteur peut autoriser les soumissionnaires concernés à régulariser une offre les autres procédures, les offres inappropriées sont éliminées, mais les offres irrégulières ou inacceptables peuvent faire l'objet d'une négociation ou d'un dialogue pour être choix de négocier ou non et les conditions de la négociation sont librement fixés par l' offre anormalement basse est une offre dont le prix est largement sous-évalué et de nature à compromettre la bonne exécution du qui détecte une offre anormalement basse doit demander au fournisseur ou au prestataire de lui fournir des précisions et des justifications sur son montant. Il doit aussi demander des précisions et des justifications sur les aspects suivants Mode de fabrication des produits, critères de la prestation des services ou procédé de constructionConditions favorables dont le soumissionnaire peut disposerOriginalité de l'offreApplication de la réglementation sur le lieu d'exécution des prestations en matière environnementale, sociale et du travailObtention éventuelle d'une aide d’État par le candidatAprès vérification, il peut rejeter l'offre si le candidat ne justifie pas de manière satisfaisante le bas niveau du prix ou des coûts qu'il a proposés. Il peut aussi la rejeter si le candidat contrevient aux obligations en vigueur en matière de droit de l'environnement, social et du revanche, si le candidat a bien justifier le prix de l'offre, celle si est requalifiée en offre page vous a-t-elle été utile ? fonctionpublique, puisqu'il est le seul OVQ (Objet de la Vie Quotidienne) transverse ayant été retenu. Tout cela a abouti à la mise en place d'un plan d'actions composé de 8 mesures pour l'année à venir, dont trois mesures principales : L'objectif est double, avec une forte volonté d'englober des problématiques larges en partenariat

Risques sanitaires mondiaux et défis de demain La pandémie de COVID-19 – crise de santé publique humaine causée par un virus avec une origine animale potentielle – a souligné la pertinence du concept Une seule santé » pour comprendre et affronter les risques sanitaires mondiaux. Souvent utilisée pour coordonner des efforts multisectoriels de prévention et de réponse aux maladies zoonotiques c’est-à-dire transmissibles de l’animal à l’humain ou de l’humain à l’animal, cette approche est primordiale pour contrôler des maladies telles que la rage, la grippe aviaire et la tuberculose. Les risques sanitaires s’accentuent avec la mondialisation, le réchauffement climatique ainsi que les modifications de comportements humains qui offrent de nombreuses opportunités aux agents pathogènes de coloniser de nouveaux territoires et d’évoluer sous de nouvelles formes. Et cette menace ne concerne pas seulement les humains. La plupart des évaluations des risques se concentrent sur la transmission de pathogènes de l’animal à l’humain, alors que la santé animale est elle aussi considérablement affectée par les maladies transmises par l’humain. Le SARS-CoV-2 le virus responsable du COVID-19, la tuberculose, les différents virus d’influenza, entre autres, peuvent infecter ou même être mortels pour certaines espèces animales. Par exemple, les gorilles et les chimpanzés, génétiquement proches de l’humain, sont particulièrement sensibles aux maladies humaines. Ces espèces, ainsi que d’autres espèces menacées doivent être gérées avec précaution par les Services vétérinaires, les autorités responsables de la faune sauvage et les chercheurs. La gestion des risques sanitaires mondiaux, qu’il s’agisse du contrôle des maladies ou du réchauffement climatique, ne peut incomber à un seul acteur et nécessite au contraire la pleine coopération des secteurs de la santé animale, humaine et des écosystèmes. Par son expertise de la santé et du bien-être animal, l’OMSA fondée en tant qu’OIE contribue à des partenariats multisectoriels afin d’élaborer des stratégies mondiales de lutte contre des maladies graves ou des menaces sanitaires de grande ampleur comme la résistance aux antimicrobiens. À travers le travail de l’Organisation, nous faisons la promotion de l’approche Une seule santé », reconnaissant ainsi l’interdépendance de la santé animale, de la santé humaine et de la santé des écosystèmes. Parce que la santé des animaux et la santé des écosystèmes dépendent grandement des activités humaines. Parce que la santé des animaux et la santé des écosystèmes déterminent également la santé humaine. C’est la santé de tou٠te٠s. Ensemble, nous pouvons trouver des solutions concrètes pour construire un monde plus sain et plus durable. Une seule santé » en chiffres Santé mondiale 60 % des agents pathogènes qui causent des maladies humaines proviennent des animaux domestiques et de la faune sauvage. 75 % des agents pathogènes humains émergents sont d’origine animale. 80 % des agents pathogènes pouvant être utilisés à des fins de bioterrorisme viennent des animaux Sécurité alimentaire Chaque soir, environ 811 millions de personnes s’endorment sans avoir mangé à leur faim. Plus de 70 % de protéines animales supplémentaires seront nécessaires pour nourrir le monde d’ici à 2050. En même temps, plus de 20 % des pertes en production animale mondiale sont liées aux maladies animales. Environnement Les humains et leurs troupeaux sont plus susceptibles d’être confrontés à la faune sauvage dans les zones où plus de 25 % de la couverture forestière originelle a disparu. Certains de ces contacts peuvent augmenter la probabilité de transmission des maladies. Les activités humaines ont profondément modifié 75 % des écosystèmes terrestres et 66 % des écosystèmes marins. Economie Les maladies animales menacent directement les revenus des communautés rurales qui vivent de l’élevage. Plus de 75 % [2] du milliard de personnes qui vivent avec moins de 2 dollars par jour dépendent de l’agriculture de subsistance et de l’élevage pour leur survie. Qu’est-ce que Une seule santé » ? Du concept à l’action. [1] FAO, 2011. World Livestock 2011 – Livestock in the food security.[2] FAO \& OIE, 2015. Global control and eradication of peste des petits ruminants Investing in veterinary systems, food security and poverty alleviation International FAO-WOAH-WHO collaboration Coordinating the many players involved in human, animal and environmental health is vital to meet the health challenges of tomorrow. In this context, three major international organisations, WHO, WOAH founded as OIE and FAO, are working together to prevent and control health risks at the human–animal–ecosystems interface. They are developing global strategies and tools to ensure a consistent, harmonised approach throughout the world, and to better coordinate human, veterinary and environmental health policies at the national and international levels. FAO-WOAH-WHO a worldwide cross-sectoral strategy for “One Health” These three organisations have worked together for many years to prevent, detect, control and eliminate health threats to humans, originating – directly or indirectly – from animals. Putting the “One Health”» vision into practice has been facilitated by a formal alliance between the three organisations. In this context, the FAO, WOAH and WHO acknowledge their respective responsibilities in combating diseases which have a severe impact on health and the economy, particularly zoonoses. The basis of the FAO-WOAH-WHO Tripartite Alliance In 2010, the three Organisations published a Tripartite Concept Note, describing their collaboration and objectives in the prevention and control of health risks at the human–animal–ecosystems working together in this way, they can create synergy in their expertise and communications activities on issues of common interest, in order to mobilise their public and private partners, Member Country governments and public meet regularly and their principal activities are aimed at early detection of the emergence of animal and human diseases, so that these can be met with a swift and targeted response to control disease outbreaks and prevent their spread worldwide Such actions include, for example Developing their capacities for surveillance and rapid response, through the epidemiological data gathered by their respective health surveillance and early warning systems Ensuring consistency across the standard-setting activities of the three organisations the intergovernmental standards of the WOAH, the International Health Regulations [IHR] of the WHO and the international food standards of the Codex Alimentarius; Evaluation of and taking measures to manage disease risks Building capacity for the health authorities of their Member Countries. The 3 priorities of the Tripartite Alliance Within the framework of their close collaboration and the development of joint strategies to prevent health risks at the human–animal–ecosystems interface, the FAO, WOAH and WHO set three priority areas in 2011. Free Range Chickens Family Animal Influenza The worldwide spread of the avian influenza H5N1 epidemic at the beginning of the 2000s, with its host of economic and health consequences, intensified the joint work of the FAO, WOAH and WHO. Since then, the three organisations regularly exchange follow-up information on the global animal influenza situation WOAH/FAO global network of expertise on animal influenza Established in 2005, this network of international experts is intended to monitor influenza in humans more effectively, in issues related to the animal–human interface. Since 2009 it has extended its field of action to all animal influenzas and continues to increase its particular, OFFLU collaborates with WHO to contribute to the early preparation of human vaccines. Learn more Mature veterinarian in white coat and protective mask on face holding clipboard and using smart phone while standing in cote. In background pigs. Antimicrobial Resistance Antibiotics are essential for human health, and animal health and welfare. Over-use and abuse can cause the emergence of bacteria that do not respond to antibiotics, antibiotic resistance. This phenomenon limits the effectiveness and availability of antimicrobials and seriously jeopardises effective control of infectious diseases throughout the world. At the same time, globalisation aids the spread of pathogens, including resistant bacteria, across the planet. The joint actions of the FAO–WOAH–WHO are aimed at Ensuring that antimicrobials maintain their effectiveness promoting their responsible and prudent use ensuring that everyone has access to high-quality medicines Learn more Mature veterinarian in white coat and protective mask on face holding clipboard and using smart phone while standing in cote. In background pigs. Rabies Rabies still kills tens of thousands of people every year. However, we have all the methods needed to prevent and eliminate this 2011, the Tripartite Alliance has developed a joint global strategy to control this disease. Its first priority is good governance of the distribution of resources, both public and private, local, national and international, to carry out preventative actions in animals, particularly vaccination of dogs. Learn more Enlarging the Tripartite commitment to face health challenges of the future In October 2017, the WOAH, the FAO and the WHO released their second Tripartite strategic document reaffirming their commitment to provide multi-sectoral, collaborative leadership in addressing health challenges. The scope of their collaboration will be enlarged to more broadly embrace the “One Health” approach recognising that human health, animal health and the environment are interconnected. The document presents the way forward that the three organisations will follow. While maintaining the momentum achieved for antimicrobial resistance, rabies and zoonotic influenza, the partners decided to enlarge their collaboration with a particular focus on the reinforcement of national services in human health, animal health and food safety;the strengthening and modernization of early warning and surveillance/monitoring systems;the foresight, preparedness and response to emerging, re-emerging and neglected infectious diseases;the encouragement and the promotion of coordinated research and development to achieve a common understanding of the highest priority zoonotic diseases;the challenge that represents food safety requiring a multi-sector approach in the context of reinforcing food security. Memorandum of Understanding signed by FAO, WOAH and WHO to strengthen their long-standing partnership On 31 May 2018, the Food and Agriculture Organization of the United Nations FAO, the World Health Organization WHO and the World Organisation for Animal Health WOAH signed a Memorandum of Understanding MOU, agreeing to step up joint action to combat health threats associated with interactions between humans, animals and the environment. This MOU supports the 2010 Tripartite Concept Note describing the collaborative strategy amongst the three organisations as well as the strategic document published in 2017. Bringing together knowledge, insights and technical capacities in human and animal health and food and agriculture can generate strong synergies, for more robust, effective and cost-efficient solutions to the complex health problems facing the world today. Joint activities under the MOU will include Supporting the Interagency Coordination Group on AMR established by the United Nations General Assembly in 2016, as well as the continuing implementation of the Global Action Plan on AMR Engaging with countries to reinforce national and regional human health, animal health and food safety services Improving inter-agency collaboration in foresight analysis, risk assessment, preparedness building and joint responses to emerging, remerging and neglected infectious diseases at the animal-human-ecosystems interface Addressing food safety challenges requiring a multi-sector approach in the context of reinforcing food security. Promoting coordinated research and development to achieve a common understanding of the highest priority zoonotic diseases and the research and development needed to prevent, detect, and control them Developing a Voluntary Code of Conduct to reinforce implementation of international standards on responsible and prudent use of antimicrobials Memorandum of Understanding between FAO, WOAH, WHO, and UNEP The four international agencies, the Food and Agriculture Organization of the United Nations FAO, the World Organisation for Animal Health WOAH, the UN Environment Programme UNEP and the World Health Organization WHO, have signed a groundbreaking agreement to strengthen cooperation to sustainably balance and optimize the health of humans, animals, plants and the environment. On 17 March 2022, the heads of the four organizations – QU Dongyu, the Director-General of FAO, Monique Eloit, the Director-General of WOAH, Inger Anderson, the Executive Director of UNEP, and Tedros Adhanom Ghebreyesus, the Director-General of WHO -signed a Memorandum of Understanding MoU for joint One Health works, by which UNEP joined the former Tripartite FAO, WOAH and WHO as an equal partner to form a new Quadripartite Collaboration for One Health. The new Quadripartite MoU provides a legal and formal framework for the four organizations to tackle the challenges at the human, animal, plant and ecosystem interface using a more integrated and coordinated approach. This framework will also contribute to reinforce national and regional health systems and services. The One Health Joint Plan of Action 2022-2026 Renforcer la collaboration intersectorielle à l’échelle nationale L’OMSA fondée autant qu’OIE envisage et met en œuvre le concept Une seule santé» comme une approche collaborative globale pour appréhender dans leur ensemble les risques pour la santé humaine, animale et environnementale. Mais une collaboration de cette nature ne peut se limiter à un plan international elle doit également reposer sur des dispositifs de gouvernance sanitaire adaptés aux échelles régionale et nationale sur un mode harmonisé et coordonné. Un guide tripartite pour la gestion des zoonoses à travers l’approche multisectorielle Une seule santé » Chaque jour, nous entendons parler des défis sanitaires à l’interface homme – animal – environnement. Des maladies zoonotiques telles que l’influenza aviaire, la rage, la maladie à virus Ebola, la fièvre de la vallée du Rift continuent d’avoir des conséquences majeures sur la santé des populations, leurs moyens de subsistance et les économies. Un seul secteur ne peut faire face efficacement à ces menaces sanitaires. Une collaboration multidisciplinaire et multisectorielle est nécessaire pour les combattre et réduire leurs effets. Afin d’aider les pays à adopter une approche Une seule santé » pour s’attaquer aux maladies zoonotiques, les Organisations de l’Alliance tripartite FAO, OMSA, OMS ont élaboré conjointement le Guide Un guide tripartite pour la gestion des zoonoses à travers l’approche multisectorielle Une seule santé » ». Ce guide, désigné comme le Guide Tripartite des Zoonoses GTZ, aborde des sujets suffisamment variés pour être également utilisé en réponse à d’autres menaces sanitaires à l’interface homme – animal – environnement ; par exemple, la sécurité sanitaire des aliments ou la résistance aux antimicrobiens AMR. Le GTZ rassemble des principes, des bonnes pratiques et des alternatives ayant pour objectif d’aider les pays à mettre en place une collaboration efficace et durable à l’interface homme – animal – environnement. Vous trouverez également dans ce Guide, des exemples et des enseignements concrets, tirés des expériences des Pays membres. Le Guide est disponible en arabe, chinois et russe. En recourant au GTZ et aux outils opérationnels qui lui sont associés actuellement en cours d’élaboration, les pays peuvent constituer ou renforcer leurs capacités nationales dans différents domaines Les options de suivi et d’évaluation de l’impact des activités ci-dessus sont incluses dans le guide afin de soutenir les initiatives prises par les pays pour améliorer leurs cadres règlementaires, leurs stratégies et politiques de lutte contre les maladies zoonotiques. Par ailleurs, adopter l’approche Une seule santé » présentée dans le GTZ aide les pays à faire un meilleur usage de ressources limitées et minimise les pertes indirectes pour la société, telles que les conséquences sur les moyens de subsistance des petits producteurs, l’appauvrissement de la nutrition des populations, et les effets des restrictions imposées au commerce et au tourisme. En travaillant ensemble et de manière collaborative, nous améliorons durablement nos systèmes de santé mondiaux tout en prévenant et les risques sanitaires d’ampleur planétaire. Outils de communication pour le GTZ Découvrir Renforcement des capacités des outils opérationnels issus du Guide tripartite pour la gestion des zoonoses Évaluation conjointe des risques L’Outil opérationnel pour l’évaluation conjointe des risques Outil opérationnel pour l’ECR aide les pays à mettre en place un processus conjoint et intersectoriel d’évaluation des risques. Il explique comment mener à bien chaque composante du processus, étape par étape. Pour faciliter la mise en œuvre du processus, cet outil opérationnel contient des modèles de documents et de formulaires à l’usage du personnel des administrations en charge de la gestion des zoonoses. Grâce aux recommandations qu’une évaluation conjointe des risques permet de formuler en matière de suivi, de gestion et de communication sur les risques, les décideurs auront les cartes en main pour mettre en œuvre des mesures scientifiquement fondées et harmoniser les messages de communication entre les différents secteurs. L’évaluation est disponible en arabe, chinoise et russe. Naviguer à travers le guide tripartite des zoonoses TZG une formation pour les défenseurs et les exécutants Une formation sur mesure a été développée par les organisations Tripartites OMSA, FAO et OMS pour présenter aux participants le TZG, tout en fournissant des orientations pratiques pour renforcer l’adoption de l’approche Une seule santé » pour les maladies zoonotiques. En complétant les trois modules de cette formation, les participants pourront Comprendre l’objectif du TZGReconnaître les outils qui peuvent être utilisés pour comprendre le contexte national et les priorités de l’approche Une seule santé »Explorer les capacités techniques abordées dans le TZGApprendre des expériences des pays sur la mise en œuvre des principes clés du TZGIdentifier les outils opérationnels disponibles pour soutenir l’utilisation du TZG au niveau national. Mature veterinarian in white coat and protective mask on face holding clipboard and using smart phone while standing in cote. In background pigs. TZG online training Access Consolider les systèmes sanitaires nationaux La promotion du concept Une seule santé » au niveau national vise à conférer un soutien politique renforcé dans la durée afin d’assurer la prévention coordonnée des maladies à impact majeur sur la santé publique à l’interface homme-animal-écosystèmes. Il est en effet essentiel de disposer de systèmes de santé humaine et animale organisés et résilients. Dans ce contexte, l’OMSA s’engage à soutenir l’amélioration constante de la performance des Services vétérinaires nationaux Processus PVS, notamment par le biais de la bonne gouvernance, et encourage leur coopération avec les autres acteurs de la santé publique, en considérant comme un bien public mondial toutes les actions en la matière. L’OMSA propose, en outre, à tous ses Pays membres une évaluation indépendante de la conformité de leurs Services vétérinaires à ses normes de qualité, ainsi que des outils spécifiques pour calculer les investissements et réaliser les réformes législatives et techniques leur permettant de s’y conformer. Le Processus PVS d’amélioration durable des Services vétérinaires a déjà bénéficié à plus de 140 Pays. Afin que la mise en œuvre de ces actions soit efficace à plus large échelle, elle requiert la coopération de tous les pays puisque les effets de la mondialisation ne cantonnent pas les menaces sanitaires aux frontières d’un pays. Cependant la concertation et la coopération entre santé publique et santé animale font défaut dans nombre d’entre eux. C’est pourquoi de nouvelles démarches, présentées ci-après, ont été développées pour aider les pays à se doter de systèmes sanitaires nationaux efficaces, tant pour la santé humaine que pour la santé animale, bien organisés et fonctionnant selon des principes de bonne gouvernance, permettant de surveiller aussi bien la santé animale que la santé publique. Vers une coopération renforcée entre les autorités nationales de santé humaine et de santé animale L’OMS et l’OMSA ont élaboré des outils pour aider leurs Pays membres à mettre en œuvre leurs normes respectives et les accompagner dans la définition de stratégies adaptées et coordonnées face aux risques sanitaires nationaux à l’interface homme-animal en évaluant les capacités des secteurs de santé animale et humaine ;identifiant des écarts dans la mise en œuvre des normes sanitaires. En se basant sur l’expérience acquise lors de deux ateliers nationaux pilotes impliquant les autorités nationales de santé animale et humaine tenus en Azerbaïdjan et en Thaïlande, un Guide conjoint OMS-OMSA destiné aux instances nationales de santé publique et aux autorités nationales de santé animale représentées par les Services vétérinaires, a été conçu il expose des méthodes visant à renforcer la bonne gouvernance des systèmes sanitaires dans le monde. Cadre opérationnel OMSA-OMS pour une bonne gouvernance à l’interface homme-animal articuler les outils de l’OMS et de l’OMSA pour l’évaluation des capacités nationales. Ce guide fournit un aperçu détaillé de tous les outils disponibles dans le contexte du Cadre de suivi du Règlement Sanitaire International RSI de l’OMS et du Processus PVS de l’OMSA et de leur utilisation afin de créer des passerelles et de répondre aux objectifs de l’approche Une seule santé». Toutes ces synergies entre spécialistes de santé animale et de santé humaine appliquées aux niveaux local, national et mondial contribueront sans nul doute à l’amélioration continue et simultanée de la santé publique dans le monde. Ateliers nationaux RSI/PVS Règlement Sanitaire International RSI et Processus PVS d’évaluation des performances des Services vétérinaires Depuis la publication du Cadre Opérationnel décrit ci-dessus, l’OMSA, conjointement avec l’OMS, continue de développer une approche intersectorielle et propose désormais d’organiser des séminaires nationaux RSI/PVS dans les Pays membres souhaitant renforcer les collaborations entre les secteurs de la santé humaine et animale pour gérer de manière optimale les menaces sanitaires d’ordre prioritaire. Ces séminaires fournissent aux participants des autorités nationales de nombreuses opportunités pour échanger sur les résultats des évaluations des capacités RSI et PVS des pays et identifier des moyens d’utiliser ces conclusions ; renforcer le dialogue, la coordination et la collaboration entre les secteurs de la santé humaine et animale, pourdéfinir des domaines stratégiques d’actions conjointes permettant une approche synergique dans la prévention, la détection et le contrôle des maladies ; faciliter l’identification d’outils possibles, rassemblant les différentes expertises techniques, les données, les bonnes pratiques et les ressources ; améliorer la compréhension des rôles et mandats respectifs des acteurs des différents secteurs; développer des outils permettant de faciliter l’institutionnalisation de mécanismes de coordination et de coopération intersectorielle, en termes de financement, alignés sur les priorités et stratégies nationales, grâces aux informations transmises par les organisations internationales. Protecting animals, preserving our future Since WOAH believes that controlling all animal pathogens at their animal source is the most effective and economic way of protecting people, it works every day to promote a collaborative and multi-sectoral approach, centred on the concept of “One Health”. Being aware of health risks at the human–animal–ecosystems interface is the cornerstone of their prevention and control. The communication tools developed by WOAH are freely accessible and available to everyone for downloading and distribution. Documents Animals, humans and diseases ● One Health » infographic ● Scientific and Technical Review Bipartite and Tripartite FAO–WOAH–WHO documents Videos WAHIS Protecting animals, preserving our future Global Health Security Agenda GHSASummary of a speech by Dr Bernard Vallat at the White House to national and international policy-makers during the 4th meeting of the GHSA programme, in the presence of the President of the United States of America, Barack Obama, and representatives of the governments of more than 40 countries. Press releases 19/01/16 World Veterinary Day Award 201614/12/15 Adapted and resilient animal health and animal production systems are key to efficiently address the effects of climate change 13/11/15 Protecting the effectiveness of antibiotics we can all contribute28/09/15 WHO, OIE, FAO and GARC call to invest in defeating human rabies transmitted by dogs11/09/15 Global Heath Security Agenda Moving forward to a safer world 07/08/15 Public health, animal health and security sector must speak with one voice on the need to strengthen health systems12/05/15 The OIE welcomes the publication of WHO Best Practices for the naming of new infectious diseases 03/04/15 The OIE joins in the celebration of World Health Day 201503/10/14 Bridging WHO and OIE tools to better control global health risks at the human–animal interface29/09/14 The importance of animal health for Global Health Security24/05/14 The Directors General of FAO, OIE and WHO united to tackle new challenges 06/11/13 WSAVA and OIE call on political leaders for action on rabies21/10/13 OFFLU and WHO extend their collaboration for pandemic preparedness09/12/11 Summary details the outcomes of international high-level talks on health risks at the human–animal–ecosystems interface21/04/10 FAO-OIE-WHO Collaboration Concept Note on health risks at the human-animal interface is available online Editorials One Health 2013One World, One Health 2009Protecting our planet from emerging diseases linked to globalisation 2007Emerging and re-emerging zoonoses 2004One Health “at a glance” More effective control of global health risks 26 International Experts to kickstart the joint FAO/OMSA/UNEP/WHO One Health High Level Expert Panel OHHLEP Recognizing the complex and multidisciplinary issues raised by the interface of human, animal and ecosystem health “One Health” that require enhanced coordination and collaboration among sectors and agencies, nationally and internationally, the Food and Agriculture Organization FAO, the World Organisation for Animal Health OMSA, the United Nations Environment Programme UNEP and the World Health Organization WHO the “Partners” launched on 29 March 2021 a joint call for expression of interest to constitute a One Health High Level Expert Panel OHHLEP. From over 700 applications received, 26 international experts were appointed in May 2021 to serve as members on the One Health High Level Expert Panel OHHLEP. The Panel is multidisciplinary, with experts who have a range of technical knowledge, skills and experience relevant to One Health. The OHHLEP will provide guidance on One Health-related matters that support improved cooperation among governments. It has an advisory role to the Partners and is expected to support their provision of evidence-based scientific and policy advice to address the challenges raised by One Health. The areas of focus of the OHHLEP will be subject to regular review by the Partners. Initially, the OHHLEP will focus on providing policy relevant scientific assessment on the emergence of health crises arising from the human-animal-ecosystem interface, as well as research gaps; and guidance on development of a long-term strategic approach to reducing the risk of zoonotic pandemics, with an associated monitoring and early warning framework, and the synergies needed to institutionalise and implement the One Health approach, including in areas that drive pandemic risk. The OHHLEP’s advice will contribute to enhancing strategic orientations and coordination, and to providing high political visibility on the subject of One Health. For further information regarding members of OHHLEP, please visit the WHO website. OHHLEP Contact

Leconcept « Une seule santé » résumait une idée connue depuis plus d'un siècle; que la santé humaine et la santé animale sont interdépendantes et liées à la santé des écosystèmes dans lesquels elles existent. Nous l'avons envisagée et mise en œuvre comme une approche globale collaborative pour comprendre les risques pour la santé humaine et animale La sélection d'une langue déclenchera automatiquement la traduction du contenu de la le 09 août 2022 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreVous pouvez bénéficier de formations de préparation aux épreuves des concours et examens professionnels de la fonction publique. Quelle est votre situation ? De quelle fonction publique relevez-vous ?Fonction publique d'ÉtatFonction publique territorialeFonction publique hospitalièreVous avez choisiChoisir votre cas
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Mai 19, 2022 Fatima Z. 8minutes de lecture Qu’est-ce que SSHFonctionnement de SSHComprendre différentes techniques de cryptageCryptage symétriqueCryptage asymétriqueHashing hachageComment fonctionne SSH avec ces techniques de cryptageNégociation de chiffrement de sessionAuthentification de l’utilisateur Qu’est-ce que SSH SSH, ou Secure Shell, est un protocole d’administration à distance qui permet aux utilisateurs de contrôler et de modifier leurs serveurs distants sur Internet. Le service a été créé en tant que remplacement sécurisé pour le Telnet non chiffré, et utilise des techniques cryptographiques pour s’assurer que toutes les communications vers et depuis le serveur distant se produisent de manière chiffrée. Il fournit un mécanisme pour authentifier un utilisateur distant, transférer les entrées du client vers l’hôte et relayer la sortie vers le client. L’image ci-dessous montre une fenêtre SSH typique. Tout utilisateur Linux ou MacOS peut SSH dans leur serveur distant directement à partir de la fenêtre du terminal. Les utilisateurs de Windows peuvent utiliser des clients SSH comme Putty. Vous pouvez exécuter des commandes shell de la même manière que vous le feriez si vous étiez en train d’utiliser physiquement l’ordinateur distant. Ce didacticiel SSH couvrira les bases du fonctionnement de SSH, ainsi que les technologies sous-jacentes utilisées par le protocole pour offrir une méthode sécurisée d’accès à distance. Il couvrira les différentes couches et types de cryptage utilisés, ainsi que le but de chaque couche. Fonctionnement de SSH Si vous utilisez Linux ou Mac, alors l’utilisation de SSH est très simple. Si vous utilisez Windows, vous devrez utiliser un client SSH pour ouvrir les connexions SSH. Le client SSH le plus populaire est PuTTY, au sujet duquel vous pouvez en apprendre plus ici. Pour les utilisateurs de Mac et Linux, passez à votre programme de terminal, puis suivez la procédure ci-dessous La commande SSH se compose de 3 parties distinctes ssh {user}{host} La commande de la clé SSH indique à votre système que vous souhaitez ouvrir une connexion Secure Shell cryptée. {user} représente le compte auquel vous souhaitez accéder. Par exemple, vous voudrez peut-être accéder à l’utilisateur root, qui est essentiellement synonyme d’administrateur système avec tous les droits de modification de tout sur le système. {host} fait référence à l’ordinateur auquel vous souhaitez accéder. Ceci peut être une adresse IP par ex. ou un nom de domaine par exemple, Lorsque vous appuyez sur Entrée, vous serez invité à entrer le mot de passe du compte demandé. Lorsque vous le saisissez, rien ne s’affiche à l’écran, mais votre mot de passe est en fait transmis. Une fois que vous avez fini de taper, appuyez une fois sur Enter. Si votre mot de passe est correct, vous serez accueilli avec une fenêtre de terminal à distance. Si vous voulez en savoir plus sur certaines commandes SSH, retrouvez-les ici. Comprendre différentes techniques de cryptage L’avantage important offert par SSH par rapport à ses prédécesseurs est l’utilisation du cryptage pour assurer le transfert sécurisé d’informations entre l’hôte et le client. Host se réfère au serveur distant auquel vous tentez d’accéder, tandis que le client est l’ordinateur que vous utilisez pour accéder à l’hôte. Il existe trois technologies de cryptage différentes utilisées par SSH Cryptage symétrique Cryptage asymétrique Hashing. Cryptage symétrique Le cryptage symétrique est une forme de cryptage où une clé secrète est utilisée pour le cryptage et le décryptage d’un message par le client et l’hôte. En effet, toute personne possédant la clé peut décrypter le message transféré. Le cryptage symétrique est souvent appelé clé partagée ou cryptage de secret partagé. Il n’y a habituellement qu’une seule touche qui est utilisée, ou parfois une paire de touches où une clé peut facilement être calculée à l’aide de l’autre clé. Les clés symétriques sont utilisées pour chiffrer toute la communication lors d’une session SSH. Le client et le serveur dérivent la clé secrète en utilisant une méthode convenue, et la clé résultante n’est jamais divulguée à un tiers. Le processus de création d’une clé symétrique s’effectue par un algorithme d’échange de clés. Ce qui rend cet algorithme particulièrement sécurisé, c’est le fait que la clé n’est jamais transmise entre le client et l’hôte. Au lieu de cela, les deux ordinateurs partagent des données publiques, puis les manipulent pour calculer de manière indépendante la clé secrète. Même si une autre machine capture les données publiquement partagées, il ne sera pas capable de calculer la clé car l’algorithme d’échange de clés n’est pas connu. Il faut toutefois noter que la clé secrète est spécifique à chaque session SSH et est générée avant l’authentification du client. Une fois la clé générée, tous les paquets qui se déplacent entre les deux machines doivent être cryptés par la clé privée. Cela inclut le mot de passe tapé dans la console par l’utilisateur, de sorte que les informations d’identification sont toujours protégées des sniffers de paquets réseau. Il existe une variété de chiffrages symétriques, y compris, mais sans s’y limiter, AES Advanced Encryption Standard, CAST128, Blowfish, etc. Avant d’établir une connexion sécurisée, le client et un hôte décident quel chiffrage utiliser, en publiant une liste des chiffrages compatibles, par ordre de préférence. Le chiffrage préféré des cybers clients pris en charge sur la liste de l’hôte est utilisé comme chiffrage bidirectionnel. Par exemple, si deux machines Ubuntu LTS communiquent entre elles sur SSH, elles utiliseront aes128-ctr comme leur chiffrement par défaut. Cryptage asymétrique Contrairement au cryptage symétrique, le cryptage asymétrique utilise deux clés distinctes pour le cryptage et le décryptage. Ces deux clés sont appelées clé publique et clé privée. Ensemble, ces deux clés forment une paire de clés public-privé. La clé publique, comme son nom l’indique, est distribuée et partagée ouvertement avec toutes les parties. Bien qu’elle soit étroitement liée à la clé privée en termes de fonctionnalité, la clé privée ne peut pas être calculée mathématiquement à partir de la clé publique. La relation entre les deux clés est très complexe un message crypté par une clé publique d’une machine ne peut être déchiffré que par la clé privée d’une même machine. Cette relation à sens unique signifie que la clé publique ne peut pas décrypter ses propres messages, ni décrypter quelque chose de crypté par la clé privée. La clé privée doit rester privée, c’est-à-dire que la connexion doit être sécurisée, aucun tiers ne doit jamais la connaître. La force de l’ensemble de la connexion réside dans le fait que la clé privée n’est jamais révélée, car elle est le seul composant capable de décrypter des messages cryptés à l’aide de sa propre clé publique. Par conséquent, toute partie ayant la capacité de décrypter des messages signés publiquement doit posséder la clé privée correspondante. Contrairement à ce qu’on croit, le cryptage asymétrique n’est pas utilisé pour chiffrer toute la session SSH. Au lieu de cela, il n’est utilisé que pendant l’algorithme d’échange de clés de cryptage symétrique. Avant de lancer une connexion sécurisée, les deux parties génèrent des paires de clés public-privé temporaires et partagent leurs clés privées respectives pour produire la clé secrète partagée. Une fois qu’une communication symétrique sécurisée a été établie, le serveur utilise la clé publique des clients pour générer et contester et transmettre au client une authentification. Si le client peut décrypter avec succès le message, cela signifie qu’il dispose de la clé privée requise pour la connexion. La session SSH commence alors. Hashing hachage Le hachage à sens unique est une autre forme de cryptographie utilisée dans les connexions Secure Shell. Les fonctions one-way-hash diffèrent des deux formes de cryptage ci-dessus en ce sens qu’elles ne sont jamais destinées à être déchiffrées. Elles génèrent une valeur unique d’une longueur fixe pour chaque entrée, dont aucune tendance claire ne peut être exploitée. Cela rend pratiquement impossible l’inversion. Il est facile de générer un hachage cryptographique à partir d’une entrée donnée, mais impossible de générer l’entrée du hash. Cela signifie que si un client détient l’entrée correcte, il peut générer le hachage cryptographique et comparer sa valeur pour vérifier s’il possède la bonne entrée. SSH utilise des hachages pour vérifier l’authenticité des messages. Ceci est fait en utilisant HMAC, ou Hash-based Message Authentication Codes. Cela garantit que la commande reçue n’est modifiée d’aucune manière que ce soit. Même si l’algorithme de cryptage symétrique est sélectionné, un algorithme d’authentification de message approprié est également sélectionné. Cela fonctionne de manière similaire à la façon dont le chiffrage est sélectionné, comme expliqué dans la section sur le cryptage symétrique. Chaque message transmis doit contenir un MAC, qui est calculé en utilisant la clé symétrique, le numéro de séquence de paquets et le contenu du message. Il est envoyé en dehors des données cryptées symétriquement comme la partie finale du paquet de communication. Comment fonctionne SSH avec ces techniques de cryptage La façon dont fonctionne SSH, c’est qu’il utilise un modèle client-serveur pour permettre l’authentification de deux systèmes distants et le cryptage des données qui les traversent. SSH fonctionne par défaut sur le port TCP 22 bien que cela puisse être modifié si nécessaire. L’hôte serveur écoute le port 22 ou tout autre port SSH assigné et guette les connexions entrantes. Il organise la connexion sécurisée en authentifiant le client et en ouvrant le bon environnement de correct si la vérification est réussie. Le client doit commencer la connexion SSH en lançant le handshake TCP avec le serveur, en assurant une connexion symétrique sécurisée, en vérifiant si l’identité affichée par le serveur correspond aux enregistrements précédents habituellement enregistrés dans un fichier de stockage de clés RSA et présente les informations d’identification requises pour authentifier la connexion. Il existe deux étapes pour établir une connexion d’abord, les systèmes doivent s’entendre sur les normes de cryptage pour protéger les communications futures, et deuxièmement, l’utilisateur doit s’authentifier. Si les informations d’identification correspondent, l’utilisateur reçoit l’accès. Négociation de chiffrement de session Lorsqu’un client tente de se connecter au serveur via TCP, le serveur présente les protocoles de cryptage et les versions respectives qu’il prend en charge. Si le client possède une paire de protocoles et de versions correspondant, un accord est atteint et la connexion commence avec le protocole accepté. Le serveur utilise également une clé publique asymétrique que le client peut utiliser pour vérifier l’authenticité de l’hôte. Une fois que cela est établi, les deux parties utilisent ce qu’on appelle un algorithme d’échange de clés Diffie-Hellman en anglais pour créer une clé symétrique. Cet algorithme permet au client et au serveur d’arriver à une clé de cryptage partagée qui sera désormais utilisée pour chiffrer toute la session de communication. Voici comment l’algorithme fonctionne à un niveau très basique Le client et le serveur se mettent d’accord sur un très grand nombre premier, qui n’a bien sûr aucun facteur en commun. Cette valeur de nombre premier est également appelée valeur de départ. Ensuite, les deux parties conviennent d’un mécanisme de cryptage commun pour générer un autre ensemble de valeurs en manipulant les valeurs de base d’une manière algorithmique spécifique. Ces mécanismes, également appelés générateurs de cryptage, effectuent de grandes opérations sur les valeurs de base. Un exemple d’un tel générateur est AES Advanced Encryption Standard. Les deux parties génèrent indépendamment un autre nombre premier. Celui-ci est utilisé comme clé privée secrète pour l’interaction. Cette clé privée nouvellement générée, avec le numéro partagé et l’algorithme de cryptage p. Ex. AES, sert à calculer une clé publique qui est distribuée à l’autre ordinateur. Les parties utilisent ensuite leur propre clé privée, la clé publique partagée de l’autre machine et le numéro premier d’origine pour créer une clé partagée finale. Cette clé est calculée indépendamment par les deux ordinateurs, mais créera la même clé de cryptage des deux côtés. Maintenant que les deux côtés ont une clé partagée, ils peuvent chiffrer symétriquement toute la session SSH. La même clé peut être utilisée pour chiffrer et décrypter des messages lire section sur le cryptage symétrique. Maintenant que la session sécurisée symétriquement cryptée a été établie, l’utilisateur doit être authentifié. Authentification de l’utilisateur La phase finale avant que l’utilisateur ait accès au serveur authentifie ses informations d’identification. Pour cela, la plupart des utilisateurs SSH utilisent un mot de passe. L’utilisateur est invité à entrer le nom d’utilisateur, suivi du mot de passe. Ces informations d’identification passent en toute sécurité par le tunnel crypté symétriquement, de sorte qu’il n’ a aucune chance d’être capturé par un tiers. Bien que les mots de passe soient cryptés, il n’est toujours pas recommandé d’utiliser des mots de passe pour les connexions sécurisées. C’est parce que de nombreux robots peuvent simplement forcer des mots de passe faciles ou mots de passe par défaut, et accéder à votre compte. Au lieu de cela, l’alternative recommandée est SSH Key Pairs. Il s’agit d’un ensemble de clés asymétriques utilisées pour authentifier l’utilisateur sans avoir à entrer de mot de passe. Conclusion Obtenir une compréhension approfondie du fonctionnement sous-jacent de SSH peut aider les utilisateurs à comprendre les aspects de sécurité de cette technologie. La plupart des gens considèrent que ce processus est extrêmement complexe et incompréhensible, mais c’est beaucoup plus simple que la plupart des gens pensent. Si vous vous demandez combien de temps il faut pour qu’un ordinateur calcule un hachage et authentifie un utilisateur, ça se passe en moins d’une seconde. En fait, la plupart du temps est consacrée au transfert de données sur Internet. J’espère que ce tutoriel de SSH vous a aidé à voir comment différentes technologies peuvent être regroupées pour créer un système solide dans lequel chaque mécanisme a un rôle très important à jouer. Egalement, maintenant, vous savez pourquoi Telnet est devenu une technique du passé, dès l’arrivée de SSH. Pour plus de tutoriels Linux, n’oubliez pas de consulter notre section sur les tutoriels du VPS et consultez plus d’informtion sur nos plans de VPS . Fatima Zahra est une passionnée du marketing digital et de l'IT, elle fait partie de l'équipe du contenu de notre site web pour apporter à nos chers internautes une meilleure expérience client. 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012 la qualité dans la fonction publique Quels apports d’une approche par le travail Une QUestion QUi n’est pas noUvelle Les organismes publics n’ont pas découvert récemment la notion de qualité, laquelle est intégrée dans leurs activités : les ponts, les routes, les actes de santé, la protection sociale, les
Introduction Ce document décrit les étapes de configuration du pare-feu ASA dans un déploiement d’Expressway avec la double carte réseau activée pour le flux WebRTC. Conditions préalables Conditions requises Cisco vous recommande de prendre connaissance des rubriques suivantes Connaissance des pare-feu Cisco ASA Cisco Adaptive Security Appliance Connaissances administratives des serveurs Expressway Connaissances administratives de CMS Cisco Meeting Server Présentation de l'application WebRTC de Cisco CMS Traduction d'adresses réseau NAT Traversée à l’aide de relais autour du NAT TURN Components Used Ce document n’est pas limité à des versions spécifiques du logiciel et du matériel; il faut toutefois que les exigences en matière de version minimale du logiciel soient satisfaites. Serveur Expressway Serveur CMS The information in this document was created from the devices in a specific lab environment. All of the devices used in this document started with a cleared default configuration. Si votre réseau est en ligne, assurez-vous de bien comprendre l’incidence possible des commandes. Informations générales Une prise en charge de proxy WebRTC a été ajoutée à Expressway de la version Cela permet aux utilisateurs hors lieux de naviguer vers un pont Web de serveur de réunion de Cisco. Les clients externes et les invités peuvent gérer ou rejoindre les coSpaces de CMS sans avoir besoin d'autre logiciel qu'un navigateur Web pris en charge. La liste des navigateurs pris en charge se trouve ici. Le serveur Expressway-E peut être configuré avec des interfaces réseau simples ou doubles par conséquent, avec une paire de cartes réseau orientées interne et externe. Dans les versions précédentes d’Expressway, avoir une double carte réseau avec NAT statique n’était pas obligatoire. Lorsque la fonction WebRTC sur Expressway a été activée, elle a commencé à nécessiter la configuration d’une NAT statique, même dans le cas d’une double carte réseau activée sur le serveur Expressway-E. La version du logiciel Expressway devrait contenir un remaniement de la logique du code, qui supprime cette exigence dans presque tous les scénarios de configuration. Référez-vous à la demande d'amélioration CSCve37570 pour plus d'informations. Remarque lorsque Expressway-E en configuration double NIC avec NAT statique est utilisé comme serveur TURN pour le trafic WebRTC et que le seul chemin de support de travail est le candidat de relais sur CMS et le client WebRTC, le serveur TURN envoie physiquement des paquets RTP à sa propre adresse IP NAT statique. C'est pourquoi la réflexion NAT doit être configurée sur le pare-feu externe. Attention Le déploiement du cluster Expressway-E avec plusieurs serveurs TURN activés derrière la même NAT continue d’exiger que la réflexion NAT soit configurée. Note technique Si vous souhaitez en savoir plus sur les processus ICE, TURN et STUN, consultez la présentation Cisco Life ICE / TURN / STUN Tutorial - BRKCOL-2986 Cette session fournit des informations techniques et des informations sur la technologie TURN Traversal Using Relay NAT et ICE Interactive Connectivity Establishment. Il explique comment ils sont utilisés dans la gamme de solutions de collaboration, en prêtant une attention particulière au cas d'utilisation des services d'accès mobile et à distance MRA. Les participants à cette session ont appris pourquoi TURN est nécessaire et comment ICE trouve le chemin multimédia optimal. Les conseils de dépannage ont été discutés et les outils de maintenance disponibles ainsi que les meilleures pratiques ont été démontrés. Configuration Ce chapitre décrit les étapes requises pour configurer la réflexion NAT sur le pare-feu ASA dans le scénario de serveur Expressway-E avec double carte réseau activée. Le trafic de retour du pare-feu vers l’Expressway après réflexion a comme adresse source l’adresse IP publique du serveur d’où provient la demande pour correspondre aux autorisations TURN. Note Les pare-feu méfient généralement les paquets qui ont la même adresse IP source et de destination. Vous devez configurer votre pare-feu externe pour autoriser la réflexion NAT pour l’adresse IP publique de l’Expressway-E. Diagramme du réseau Cette image fournit un exemple de flux WebRTC général, dans le scénario Expressway avec double carte réseau activée Cette image fournit un exemple de flux de connexions et les ports requis pour elle Web Proxy pour CMS WebRTC Cette référence est tirée du Guide d’utilisation des ports IP de Cisco Expressway pour Expressway version Étapes de configuration du pare-feu Cisco ASA Ces étapes fournissent les étapes de configuration requises sur le pare-feu Cisco ASA, pour les versions et ultérieures. Étape 1. Créez deux objets le premier est destiné à l’adresse IP privée de l’Expressway-E et le second à l’adresse IP publique de l’Expressway-E. Exécutez les commandes suivantes ASAconfigobject network expressway-privateASAconfig-network-object host network expressway-publicASAconfig-network-object host Étape 2. Identifiez le nom de l’interface à laquelle l’Expressway-E est connecté, par exemple, la voie rapide DMZ. Étape 3. Configurez une NAT statique manuelle dont le but est de traduire le trafic Expressway de son adresse IP privée vers son adresse IP publique, puis de le renvoyer à l’Expressway-E à nouveau après sa traduction. Exécutez la commande et remplacez les valeurs réelles de votre déploiement ASAconfig nat DMZ-expressway, DMZ-expresswaysource static expressway-private expressway-public destination static expressway-public expressway private Étape 4. Autoriser le trafic à revenir en ajoutant une liste d’accès ou en ajoutant une ligne à une liste d’accès déjà configurée sur l’interface connectée à l’Expressway-E access-list access-list-name-on-DMZ-expressway line 1 permit IP any expressway-private Vérification Une fois la configuration terminée, elle peut être testée directement à l'aide d'une tentative d'appel, ou testée à l'aide de la commande packet-tracer. Exemple d'utilisation de la commande packet-tracer packet-tracer input interface-name tcp express-private-ip 1234 express-public-ip port de destinationRemplacez les paramètres mis en surbrillance par les informations appropriées de votre déploiement. Si la configuration réussit, la commande packet-tracer renvoie cette sortie input-interface DMZ-expresswayinput-status upinput-line-status upoutput-interface DMZ-expresswayoutput-status upoutput-line-status upAction allow Dépannage Aucune information de dépannage spécifique n'est actuellement disponible pour cette configuration. Informations connexes Support et documentation techniques - Cisco Systems Guides de référence des commandes ASA Documentation CMS Documentation Expressway Configuration NAT ASA Et Recommandations Pour La Mise En Oeuvre Des Interfaces Réseau Double Expressway-E Configurer la réflexion NAT sur l’ASA pour les périphériques VCS Expressway TelePresence Configurer le proxy WebRTC de CMS sur Expressway VQhP.
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